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Description archivistique
BArch, R 58 · Fonds · Ca. 17. Jh. - 1945 (1946, 1957-1960)
Fait partie de Archives fédérales (Archivtektonik)

Histoire du concepteur de l'inventaire : Le 1er octobre 1939, résumé du bureau de la police secrète (prussienne) d'Etat (Ge‧stapa), du bureau du commandant de la police politique des Länder (non prussiens), du bureau de la police criminelle du Reich, du bureau principal de la sécurité, et du bureau principal de la SS Sicherheits‧haupt‧amtes (SD) dans le bureau principal nouvellement créé par Reinhard Heydrich (depuis le 30 octobre 1939), qui fut établi par le chef de la sécurité et SD. Janvier 1943 Ernst Kaltenbrunner) Reichssi‧cher‧heits‧hauptamt‧hauptamt (RSHA) ; en octobre 1943, le RSHA fut créé comme suit : Amt I Per‧sonal, Formation et organisation de la police de sécurité et du SD, Amt II Haushalt und Wirtschaft, Amt III Deutsche Lebensgebiete, Amt IV Gegner-Erforschung und -Be‧kämp‧fung (Geheimes Staatspolizeiamt), Amt V Verbrechensbekämpfung (Reichskriminal‧poli‧zei‧amt), Amt VI Auslandsnachrichtendienst, Amt VII Weltanschauliche Forschung und Aus‧wer‧tung03) : 1917-1945 (138) : Personnel, organisation, administration des affaires de divers bureaux SS et SD 1917-1919, 1933-1945 (12), situation politique (avec rapports), mouvement ouvrier, actions communistes et sociales-démocrates, affaires religieuses (nationales et étrangères) 1921-1945 (22), activité de formation (également formation politique confessionnelle) 1936-1944 (13), Literaturnach‧weise (documents historiques et actuels) 1927-1943 (9), livres de conférences, Seme‧ster et de séminaires, divers rapports 1923-1945 (15), Hexenwesen, Zauberei (avec références) 1932-1942 (36), Geheimes Staatspolizeiamt, Berlin 1933-1943 (14), Geheime Staatspolizei Bremen 1934 (1), Staatspolizei(leit)stellen - avec verschiedenenen Außen(dienst)stellen und Grenz(polizei)kommissariaten - Düsseldorf, Hambourg, Karlsruhe, Königsberg (Prusse), Munich, Sarrebruck, Prague 1933-1944 (15), commandant de la police de sécurité et du SD dans le Be‧reich du commandant militaire en France, Paris 1944 (1) Partie 2 (anciennement : BArch, R 58) : 1920-1945 (1.670) : Administration : Autorités centrales de la police de sécurité et SD 1933-1945 (21), Central et Unterbehör‧den 1933-1945 (6), Reichsstiftung für Länderkunde 1943-1944 (5), correspondance et administration des documents écrits 1933-1945 (20), achats, en particulier Armes et matériel 1933-1945 (15), véhicules 1936-1944 (10), littérature 1941-1944 (9), budget, trésorerie et comptabilité 1933-1945 (13), affaires du personnel en général 1933-1945 (10), affaires des différents départements et personnes 1936-1945 (97), Implication des professeurs d'université par l'Orient Research Centre 1944-1945 (3), Ein‧stellung, éducation et formation 1930-1945 (22), mesures disciplinaires 1934-1944 (4) Surveillance et poursuites des opposants politiques : Principes et directives 1933-1945 (6), rapports de situation et aperçus du gesam‧ten Reichsgebiet 1931-1944 (34), rapports de situation, v.a. agents de police individuels 1933-1939 (68), imposition de la détention préventive et du "traitement spécial" 1933-1945 (5), Über‧wachung et persécution du mouvement ouvrier en général 1928-1944 (27), front populaire, front uni 1925-1940 (15), parti uni allemand 1937-1940 (3), Parti social-démocrate d'Allemagne (SPD) et groupes dissidents socialistes 1931-1943 (23), Parti communiste d'Allemagne (KPD) et groupes dissidents communistes 1932-1942 (41), organisations politiques individuelles sociales-démocrates, socialistes ou communistes 1926-1942 (17), organisations de jeunesse et organisations sportives socialistes et communistes 1931-1941 (26), "Red Aid" 1930-1939 (16), organisations politiques culturelles, libres penseurs 1927-1941 (12), organisations sociopolitiques, professionnelles et autres 1920-1941 (7), Ge‧werkschaftsbewegung 1922-1944 (20), mouvement anarcho-syndicaliste 1930-1940 (5), églises catholique et protestante 1933-1945 (16), sectes et franc-maçons 1933-1943 (10), Juifs dans l'"Ancien Empire" 1933-1944 (16), Juifs dans les territoires intégrés et occupés 1937-1944 (4), mouvement sioniste 1933-1944 (5), propagande antisémite 1936-1941 (6), opposants nationaux, libéraux, conservateurs et monarchistes 1931-1945 (11) Surveillance du NSDAP, ses branches et la Wehrmacht : NSDAP et la Wehrmacht en général 1933-1943 (1), Ribbentrop Office 1937 (1), German Labour Front 1933-1940 (2), Foreign National Socialist and Fascist Groups and Foreign Emigrants in Germany 1934-1942 (1), 20. Juillet 1944, 1944 (1) Surveillance des organisations non politiques et des entreprises économiques : organisations non politiques 1929-1941 (3), associations sportives, de jeunes et sociales 1930-1942 (2), coopératives de consommateurs 1934-1941 (6), organisations de langue artificielle (espéranto et autres) 1933-1943 (10), entreprises économiques, v.a. Assurances 1933-1942 (13) Défense et lutte contre l'espionnage et le sabotage : Défense contre l'espionnage, la trahison et le sabotage en général 1933-1945 (22), Lan‧desverrat et espionnage 1933-1945 (9), sabotage et assassinats 1933-1945 (13) Mesures contre les étrangers et dans les pays intégrés, affiliés ou occupés Gebie‧ten Traitement des étrangers en général 1933-1944 (3), des travailleurs étrangers 1934-1944 (3), des prisonniers de guerre 1938-1945 (4), des minorités nationales sur le territoire du Reich et dans les territoires constitués, affiliés et occupés 1934-1944 (1), mesures de police d'Etat en Autriche 1938-1943 (7), rapports quotidiens du quartier général de la police d'Etat Vienne 1938-1940 (11), rapports d'humeur et de situation en Autriche 1939-1944 (6), Sudetenland, Protectorat Bohême et Moravie 1938-1945 (4), territoires de l'Est incorporés et Generalgou‧vernement pour les territoires polonais occupés 1939-1945 (3), Danemark et Norvège 1940-1945 (14), Eupen-Malmedy, territoires occidentaux associés (Alsace, Lorraine, Luxem‧burg) 1940-1943, territoires occidentaux occupés (Pays-Bas, Belgique, France) 1940-1944 (8), Territoires occupés de l'Est (États baltes, URSS) 1941-1945 (24), Yougoslavie, Hongrie, Siebenbür‧gen, Macédoine, Zone d'opération Pays côtier adriatique 1941-1945 (6) Persécution et lutte contre la criminalité non politique : (3) Surveillance de l'opinion publique et de l'humeur de la population : Principles of reporting by the SS Security Service (SD) 1937-1945 (2), Be‧richte on the 1939 domestic political situation (2), rapports du Reich : Général, opposants, domaines culturels, folklore et santé publique, administration et droit, économie, économie, Luft‧krieg 1939-1943 (39), rapports SD sur les questions intérieures 1943-1944 (10), régionaux Stimmungs‧berichte 1943-1945 (2), propagande contre les rapports étrangers et "anti-État" influençant l'opinion publique 1933-1944 (3), lutte antinationalsozialisti‧schen Littérature 1933-1944 (11), Examen et interdiction des livres et brochures 1933-1943 (66), contrôle de la presse 1933-1945 (55), radiodiffusion 1933-1945 (20), musique, théâtre, cinéma, art 1935-1943 (2), science, éducation et éducation populaire 1939-1945 (1), folklore 1939-1944 (1), administration générale 1939-1945 (4), administration de la justice 1939-1942 (1), économie 1939-1943 (1), approvisionnement et évaluation des actualités étrangères : Nouvelles étrangères en général 1938-1945 (16), suivi des voyages à l'étranger 1936-1939 (10), citoyens et émigrants allemands à l'étranger 1933-1943 (6), minorités allemandes à l'étranger 1933-1943, nouvelles sur les différents pays : Abyssinie, Afghanistan, Égypte, Albanie, Algérie, Arabie, Arabie, Argentine, Australie, Bel‧gien, Brésil, Bulgarie, Birmanie, Canada, Chili, Chine, République tchèque, Danemark, Équateur, Corée, Finlande, France, Grèce, Hongrie, Inde, Indonésie, Iraq, Iran, Italie, Japon, Liban, Luxembourg, Malaisie, Malte, Maroc, Royaume-Uni, Yougoslavie, Afrique du Sud, Mexique, Nouvelle-Zélande, Nie‧derlande, Norvège, Autriche, Palestine, Pologne, Portugal, Rhodésie, Roumanie, Schwe‧den, Suisse, Union soviétique, Espagne, Syrie, Transjordanie, Tchécoslovaquie, Turquie, Hongrie, Uruguay, Venezuela, États-Unis d'Amérique, Chypre 1931-1945 : Listes, dossiers et dossiers collectifs, v.a. sur les opposants politiques de la République de Weimar 1934-1944 (7), fichier sur le clergé à la retraite, Or‧densangehörige et les fonctionnaires 1940-1944 (5), fichier de la SD aux fichiers sur les individus Perso‧nen aussi en dehors de l'Allemagne avec des données personnelles et des informations sur la raison de la tenue du fichier, etc. Émigrants, diplomates, légionnaires étrangers, membres d'une loge, activités politiques, Spionage‧verdacht, perte de la carte de service 1936-1938 (157), dossier SD sur les personnes se trouvant dans des lieux individuels, en particulier dans le nord de l'Allemagne, en particulier en Basse-Saxe, avec des informations sur leur profession, leur organisation (notamment KPD, franc-maçons, associations confessionnelles, entreprises, Be‧hörden) et, si nécessaire, un cachet "Jude" o.dat. (223), des index de cartes SD sur les Allemands et les étrangers, en particulier les Irlande, Autriche, Autriche, Pologne, Suisse, Slovaquie, Espagne, Tsche‧chen et Hongrie 1933-1943 (22) Annexe : Documents personnels 1883-1945, 1957-1960 (73) Partie 3a (anciennement : ZPA, PSt 3) : 1913-1946 (616) : Amt IV Geheimes Staatspolizeiamt (Office IV) : surveillance politique dans le domaine des diverses positions (dirigeantes) de la police d'Etat 1929-1942 (135), Lage‧berichte 1938-1941 (4), KPD, SPD 1920-1944 (115), émigration politique, répertoires des opposants politiques en fuite 1931-1944 (34), Distribution de brochures illégales 1927-1940 (43), juridiction contre les opposants politiques et pratiques d'interrogatoire 1933-1943 (21), divers domaines de surveillance 1913-1946 (27), internes, suppléments 1933-1944 (16) Bureau principal de sécurité de la RFSS : Rapports mensuels et rapports de situation, rapports quotidiens 1933-1939 (34), KPD, SPD, Red Massen‧selbstschutz, Red Frontkämpferbund 1924-1940 (50), Rheinischer Separatismus 1919-1940 (7), distribution de brochures illégales 1931-1941 (23), juridiction contre politi‧sche opposants 1931-1938 (9), divers domaines de surveillance 1931-1939 (23), Perso‧nalangelegenheit Professor Dr. Scheidt 1936-1944 (1) Divers bureaux du RSHA, y compris la police d'Etat (leit)stellen Berlin, Leipzig, Magdeburg, Stettin, Vienne 1920-1945 (73) Supplément : Structure des principaux bureaux et bureaux du Reichsführer du SS o.Dat. (1) Partie 3b (anciennement : ZStA, 17.01 St 3) : 1919-1946 (1.344) : Bureau IV Bureau de la police secrète d'État : rapports imprimés de la police secrète d'État et mémorandums 1923-1942 (29), rapports de situation du Bureau de la police secrète d'État 1933-1942 (63), rapports statistiques des bureaux de la police d'État 1938-1942 (30), rapports des bureaux des polices nationales en Allemagne et dans les territoires occupés 1941-1943 (23), Anwei‧sungen, ordonnance, ordres, listes de recherche des polices secrètes d'État, etc. Données personnelles et rapports sur les médecins et les gardiens dans les camps de concentration 1928-1946 (42), documents du Secret State Police Office sur la diffusion d'écrits illégaux, arrestations, enquêtes, procès et le Tätig‧keit des organisations du parti du KPD 1928-1945 (81), divers documents 1930-1945 (33), organisations, partis et projets allemands, étrangers et internationaux vor‧nehmlich du mouvement syndical 1919-1945 (291) ; divers départements (RSHA et autres) 1929-1945 (58) ; rapports et notifications des services de police d'État 1921-1945 (417) ; groupe de polices : Ecrits illégaux avec rapports et rapports de la police secrète d'Etat sur leur distribution et leur enregistrement 1926-1945 (203) ; Suppléments : divers bureaux (RSHA et autres) 1930-1946 (74) Partie 4 (repris par l'administration des archives polonaise) : environ. 17e siècle - 1945 (771) : divers organismes (RSHA et autres ; priorité : RSHA Office VII Weltanschauli‧che Recherche et évaluation, avec matériel illégal et confisqué), env. 17e siècle - env. 1945 (771) Partie 5 (projet Boberach/Muregger) : env. 1782 - env. 1946 (environ 3 902) : SD-Hauptamt et organismes III, VI et VII Contrôle et poursuite des opposants idéologiques : Juifs, membres de confessions chrétiennes, loges franc-maçonnes (avec matériel illégal et confisqué), vers 1782 - vers 1946 (env. 3 902) État de développement : Partie 1 (anciennement : ZStA, 17ème siècle)03) : Database/Find Index Part 2 (anciennement : BArch, R 58) : Database/Publication Findbuch : Boberach, Heinz : Reichssicherheitshauptamt (fonds R 58) (Findbücher zu Bestände des Bundesarchivs, Bd. 22), Koblenz 1982, réimprimé en 1992 aux États-Unis. 2000 Annexe - Documents du personnel : base de données, partie 3a (anciennement : ZPA, PSt 3) : base de données/Findbuch (1967), partie 3b (anciennement : ZStA, 17.01 St 3) : base de données/Findbuch, vol. 1-3 (1968) Partie 4 (reprise par l'administration des archives polonaise) : Répertoire provisoire Partie 5 (projet Boberach/Muregger) : Base de données/Preiminary Findbuch Reichssicherheitshauptamt R 58 Partie I : SD-Hauptamt und Ämter III, VI et VII, sous la direction de Heinz Boberach et Dietrich Muregger : BArch, R 58/.....

BArch, R 2107-I · Fonds · 1939-1945
Fait partie de Archives fédérales (Archivtektonik)

Histoire de l'inventeur : Les bureaux des impôts de l'État ont été créés en 1919 en tant qu'autorités centrales de l'administration financière du Reich à trois niveaux, et à partir d'avril 1937, ils étaient connus sous le nom de président principal des finances. Leur compétence était habituellement limitée sur le plan territorial. Seul le LFA/OFP Berlin s'est vu confier après 1933 diverses responsabilités qui devaient être exercées sur l'ensemble du territoire du Reich, y compris l'administration des biens ennemis en Allemagne et des biens allemands à l'étranger (traités dans une filiale spéciale pour les biens ennemis en 1942). Description de l'inventaire : Historique de l'inventaire Les dossiers de la succursale des biens hostiles de l'OFP Berlin-Brandebourg ont été repris par l'Oberfinanzdirektion Berlin après 1945. Lors de la reprise de ses activités en mai 1945, la succursale avait repris des centaines de milliers de formulaires d'inscription et le vaste dossier qui avait été transféré dans les coffres de la Deutsche Reichsbank pendant les dernières années de la guerre. A la fin de 1962, les dossiers et les fichiers ont été transférés au dépôt d'archives de Dornburg de l'administration des archives d'Etat de la RDA, où ils étaient pratiquement inutilisables. Lors de la fermeture du dépôt d'archives en 1992, les documents ont été transférés aux Archives fédérales. Étant donné que la grande masse de dossiers individuels utilisables par l'index alphabétique existant s'opposait à un stock relativement faible de Generalia non cotés, deux stocks partiels R 2107 (dossiers individuels) et R 2107 I (Generalia) ont été constitués. Les Generalia ont été évalués et enregistrés entre 1997 et 2002. Au cours de l'évaluation, environ 2,0 mètres linéaires de dossiers de l'Amt für Preise de la Stadtbezirksverwaltung Berlin-Prenzlauer Berg ainsi que du Zentralfinanzamt Groß-Berlin et du Magistrat von Berlin ont été séparés et remis au Landesarchiv Berlin, et de nombreux documents officiels ont été enlevés et remis à la Bundesarchiv Library. De nombreux duplicatas, collections de formulaires et documents de routine ont été recueillis. Caractérisation du contenu : Tradition : Réglementation du fonctionnement de l'Oberfinanzdirektion en général et de la succursale 1934-1945, traitement des biens en général 1938-1944, traitement des biens hostiles en Allemagne et dans les pays et territoires occupés par l'Allemagne 1940-1943, traitement des biens allemands à l'étranger (selon les zones d'influence et pays A-Z) 1940-1944, traitement des biens juifs 1941-1944 (91) ainsi que des biens des particuliers et sociétés 1929-1945, affaires pris en France 1940-1944, règlement 1935-1953. État d'avancement : Onlinefindbuch (2002) Méthode de citation : BArch, R 2107-I/....

Cabinet d'avocats Rosenberg (existant)
BArch, NS 8 · Fonds · 1918-1945
Fait partie de Archives fédérales (Archivtektonik)

Histoire de l'inventeur : Alfred Rosenberg, l'un des proches collaborateurs d'Adolf Hitler depuis les débuts du mouvement national-socialiste, a uni - surtout depuis 1929/30 - une multitude de fonctions et d'offices politiques dans sa main. Pour pouvoir accomplir toutes les tâches qui lui ont été confiées, Rosenberg, depuis sa nomination à la tête du Bureau de politique étrangère du NSDAP (APA) en avril 1933, a fait appel à un secrétariat privé dirigé par Thilo von Trotha (né le 12.04.1909, d. 24.02.1938), qui était également responsable de la Division Nord de l'APA. En avril 1934, sur l'ordre du Trésorier du Reich, von Trothas, d'abord seulement volontaire pour Rosenberg, a été converti en une relation d'emploi régulier à plein temps avec Rosenberg comme Reichsleiter de la NSDAP. En tant que secrétaire particulier, il était responsable du traitement de toute la correspondance que Rosenberg devait traiter personnellement en tant que chef de l'APA, mais aussi en tant que Reichsführer du Kampfbund für deutsche Kultur (KfdK) et éditeur principal du "Völkischer Beobachter" (VB). En janvier 1934, Rosenberg fut nommé représentant du Führer pour contrôler l'ensemble de la formation et de l'éducation spirituelle et idéologique du NSDAP. C'est probablement en raison de cette nouvelle extension de ses fonctions que Rosenberg ordonna le 26 avril 1934 la transformation de son secrétariat privé en une "Chancellerie Rosenberg". Elle restait sous la direction de Thilo von Trothas, mais son champ d'activité était désormais clairement défini : Désormais, la Chancellerie Rosenberg était responsable de toute la correspondance de Rosenberg lui-même dans le cadre des tâches de l'APA, du KfdK et d'autres bureaux idéologiques ainsi que de la "NS-Monatshefte", du calendrier des rendez-vous et du règlement des visites du Reichsleiter. L'entreprise disposait de ses propres "archives", dont la tâche consistait à collecter du matériel d'information et des coupures de presse sur Rosenberg. Le DBFU était l'un des administrateurs. Le 15 août 1937, Rosenberg nomma le Dr. Werner Koeppen (né le 26.09.1910) SA-Sturmbannführer comme son assistant. Après la mort de Trothas en février 1938, Koeppen prit la direction du bureau et le conserva - avec des interruptions temporaires dues au service militaire - jusqu'en 1945. En août 1941, il fut nommé conseiller personnel par Rosenberg et travailla pendant un certain temps comme officier de liaison au siège du Führer. Pendant son absence, Amandus Langer, que Rosenberg avait nommé adjudant en 1941, le représente à la direction du bureau. Données de vie d'Alfred Rosenberg né le 12.01.1893 à Reval Etude d'architecture à Reval, puis à Moscou depuis 1918 en Allemagne, 1923 comme membre du NSDAP allemand naturalisé en 1919 1921 avec Dietrich Eckart Editeur du "Völkischer Beobachters" février 1923 Editeur principal du "Völkischer Beobachters", depuis 1938 également éditeur 09.11.1923 Participation à la marche vers la Feldherrnhalle ; pendant la captivité d'Hitler avec la direction du "mouvement" commissionné 1929 Fondateur du Kampfbund für deutsche Kultur 1930 Membre du Reichstag et représentant du NSDAP au Auswärtigen Ausschuss des Reichstages depuis 1930 Edition du "NS-Monatshefte" 2001.04.01.1933 Chef du Bureau de politique étrangère du NSDAP, nommé Reichsleiter du NSDAP 24.01.1934 Représentant du leader pour la supervision de l'ensemble de la formation intellectuelle et idéologique du NSDAP 29.01.1940 chargé de la préparation du "lycée" du NSDAP 05.07./17.09.1940 Chef du détachement Reichsleiter Rosenberg dans les territoires orientaux occupés 20.04.1941 Commissaire chargé du traitement central des questions relatives à l'Europe orientale 17.07.1941 Ministre du Reich pour les territoires occupés de l'Est 16.10.1946 exécuté à Nuremberg (décision IMT) Abréviations APA Foreign Office of the NSDAP DAF German Labour Front DBFU The Führer's representative for the supervision of the entire intellectual and ideological training and education of the NSDAP ERR Operations Staff Reichsleiter Rosenberg HJ Hitlerjugend IMT International Military Tribunal KfdK Combat Alliance for German Culture NS National Socialist NSDAP National Socialist German Workers Party NSKG-NSKulturgemeinde OKW Oberkommando der Wehrmacht PPK Party Official Examination Commission for the Protection of NS Writing RMbO Reich Ministry for the Occupied Eastern Territories SA Storm Departments SD Security Service SPD Social Democratic Party of Germany VB Völkischer Beobachter Inventory Description : Pendant la guerre, Rosenberg et presque tous ses bureaux sont restés à Berlin. Malgré quelques pertes lors des bombardements de novembre 1943, la plupart des dossiers du bureau de Rosenberg semblent avoir été conservés. Après la fin de la guerre, les documents traditionnels de Rosenberg (de l'Etat et des partis) ont été apportés à Nuremberg afin d'être évalués pour les procès des Alliés contre les criminels de guerre. Au début, les documents qui pouvaient servir de pièces justificatives étaient tirés des dossiers, plus tard ils y ont été laissés et se contentaient de photocopies. Les originaux utilisés seront probablement à Washington aujourd'hui, ainsi que d'autres documents du procès. Les documents recueillis à Nuremberg ont été évalués par diverses institutions étrangères en vue de la création de leurs propres collections une fois le processus terminé. Le Centre de Documentation Juive Contemporaine (CDJC) à Paris mérite une mention particulière : aujourd'hui, la "Collection Rosenberg" contient une collection d'environ 1 100 documents (provenant principalement du bureau de provenance de Rosenberg, mais aussi d'autres bureaux Rosenberg). Les reçus des différents documents extraits du CDJC se trouvent toujours dans les dossiers qui ont été transférés aux Archives fédérales. D'autres documents des départements de Rosenberg se trouvent au Nederlands Instituut voor Oorlogsdokumentatie (NIOD), Amsterdam, et au Yivo-Institut for Jewish Research à New York. Les livres et revues des départements de Rosenberg sont répertoriés à l'Hoover Institute and Library et à la Library of Congress. Des documents provenant des bureaux de Rosenberg sont également parvenus aux archives de l'ex-Union soviétique. Une vaste collection (surtout de la provenance ERR) est aujourd'hui conservée dans le Tsentral`nyi derzhavnyi arhiv vyshchykh orhaniv vlady ta upravlinnia Ukraïny (TsDAVO Ukraïny) à Kiev, d'autres dossiers (surtout du bureau de la politique étrangère) dans le Rossiiskii gosudarstvennyi voennyi arkhiv (RGVA) à Moscou. La plupart des dossiers Rosenberg collectés à Nuremberg ont été apportés à Alexandrie/Va. et partiellement filmés à Alexandrie. En mars 1963, cet ensemble de dossiers, connu sous le nom de Record Group 1008/Reichsministerium für die besetzten Ostgebiete, a été transféré des Etats-Unis aux Archives fédérales dans le cadre du rapatriement des dossiers, où il a été divisé en provenances en automne 1963. Les fichiers de ce retour de fichiers à la provenance de "Kanzlei Rosenberg" constituent la partie principale de la présente collection. Quelques volumes ont été ajoutés qui avaient été transférés aux Archives d'État de Nuremberg et aux Archives fédérales en 1955, ainsi que plusieurs volumes provenant de diverses déclarations de dossiers américains. D'autres ajouts ont été apportés par un volume des Archives centrales de l'État de la RDA (62 Ka 2/1) et un volume des "Archives nationales du ministère de la sécurité de l'État de la RDA" (ZA VI 6322). Traitement archivistique La majorité des documents avaient été déposés aux Archives fédérales dans leur contexte d'origine. Les documents individuels, les processus détachés de leur contexte ainsi que les volumes en désordre ont dû être réorganisés. L'ordre et la distorsion correspondaient au contexte initial du registre. Une réorganisation complète du stock d'un point de vue factuel aurait facilité son utilisation, mais ne semblait pas justifiée du point de vue de l'économie du travail. Seules des copies doubles ont été recueillies dans la série des manuscrits. L'instrument de recherche préliminaire pour le stock a été produit par Mme Köhne en 1966. Citation NS 8/...................................................................................... Caractérisation du contenu : La collection de manuscrits et de coupures de presse donne une image assez complète de la personnalité de Rosenberg entre 1930 et 1945 environ et, étant donné que la Chancellerie était responsable de presque tous les départements de Rosenberg, la collection contient également des documents complémentaires essentiels sur les activités des départements subordonnés à Rosenberg ; seul le département du ministère du Reich des Territoires orientaux occupés, dont Rosenberg avait principalement traité les affaires par son bureau ministériel, doit être exclu. Le classement des documents a eu lieu en grande partie en séries chronologiques, au plus séparément dans les domaines VB, KfdK et APA, plus tard aussi selon les partenaires de correspondance. Il n'est pas possible de distinguer clairement les séries les unes des autres en termes de contenu et de temps. État d'avancement : Findbuch (1966/2005), Online-Findbuch (2004). Style de citation : BArch, NS 8/.....

BArch, RH 32 · Fonds · 1934-1945
Fait partie de Archives fédérales (Archivtektonik)

Description de l'inventaire : Jusqu'au début de la guerre en 1939, les départements et les unités étaient utilisés pour étendre les fortifications dans leur zone d'origine, puis principalement pour construire des installations de défense côtière dans les territoires occidentaux occupés, au Danemark et en Norvège sur le mur dit Atlantik. A partir de 1941, le démantèlement et la démolition des fortifications existantes pour gagner du matériel pour la construction du Mur de l'Atlantique furent également l'une des tâches des pionniers de la forteresse. Néanmoins, au cours de la guerre, les pionniers de la forteresse se sont trouvés de plus en plus confrontés à des difficultés d'approvisionnement en matériaux et en équipements. Caractérisation du contenu : Le groupe d'inventaire comprend des documents de nombreuses provenances des états-majors pionniers supérieurs (par ex. inspecteur des fortifications d'Etat et officiers pionniers supérieurs) et des états-majors pionniers moyens (principalement des commandants pionniers des forteresses), des états-majors pionniers des forteresses, des états-majors des services et unités de construction des forteresses, des sections de sécurité individuelles ainsi que les sites géologiques militaires. La collection individuelle la plus importante avec environ 2000 unités d'archives provient de l'équipe de pionniers de la forteresse 10 (Heilbronn) qui, outre les équipes de pionniers 11 et 12, dirigea la construction du poste Neckar-Enz dès 1934 et fut responsable de la section entre Eberbach et Stuttgart. Par la suite, une partie du personnel a organisé les travaux sur le Westwall avant qu'il ne soit utilisé dans le nord de la Norvège et la Finlande du Nord à partir de 1942. Les archives de ce personnel se rapportent principalement à la période 1935-1938, mais dans une moindre mesure aux états-majors pionniers de la forteresse chargés de la construction de la Wetterau (environ 400 volumes du personnel pionnier de la forteresse, 14 Aschaffenburg). Les documents comprennent des rapports d'exploration, des directives et des plans de construction, des journaux de construction, des plans de construction pour les structures standard, des plans de câblage, des cartes et des dossiers d'images, des calendriers d'extension, des plans pour les liaisons de communication, des commandes pour surveiller les installations, pour la construction des barrages et pour sécuriser les zones fortifiées. Il existe également des dossiers sur l'acquisition de matériaux de construction, de composants et de mobilier pour les peuplements bétonnés, dont certains concernent des fortifications dans les territoires occupés. L'évaluation des conditions de l'eau et du sol est reflétée dans les rapports d'expertise des géologues des déversoirs. En détail, les provenances, termes et unités d'archives suivantes sont disponibles : - Inspecteur des fortifications des états fédéraux ouest : principalement 1942-1944 (environ 35 UA), - Inspecteur des fortifications des états fédéraux nord : principalement 1942-1943 (8 UA), - officier d'artillerie ouest pour les fortifications des états fédéraux : 1938-1945 (4 AE), - Haut Commandement de Saarpfalz : 1944 (1 AE), - Officier pionnier supérieur pour les Fortifications d'Etat Ouest /News : 1934-1945 (15 AE), - Officier pionnier supérieur 2 : 1940-1944 (2 AE), - Officier pionnier supérieur 2 : 1944 (1 AE), - Etat major 6 (comprenant les Sections 12, 13, et Sections 13), - Officier pionnier supérieur des Fortifications Ouest /News : 193 33-35) : sans date (43 AE), - élément de superstructure 9 (y compris les profilés 28, 29 et les éléments de construction 28, 29), - élément de superstructure 9 (y compris les profilés 28, 29 et les éléments de construction 29) 97-104 : sans date (50 UA), - Kommandantur der Befestigungen Eifel : 1939-1942 (4 UA), - Kommandantur der Befestigungen Niederrhein : 1939-1941 (17 UA) - Kommandantur der Befestigung Vogesen : 1944 (2 unités), - Kommandantur der Befestigungen Oberrhein : 1940-1943 (14 unités), - Kommandantur der Befestigungen Saarpfalz : 1940-1942 (3 unités), - Festungs-Pionier-Kommandeur I : 1940-1944 (3 AE), - Fortress Pioneer Commander II : 1940-1941 (1 AE), - Fortress Pioneer Commander IV : 1941-1943 (2 AE), - Fortress Inspection V : 1934-1938 (32 AE), - Fortress Pioneer Commander VI (Fortress Inspector VI) : 1934-1938 (11 AE), - Fortress Pioneer Commander VII : 1938-1939 (2 AE), - Fortress Pioneer Commander VIII : 1938-1940 (11 UA), - Forteresse Pioneer Commander IX : 1938-1940 (7 UA), - Fortress Pioneer Commander XI : 1940 (1 UA), - Fortress Pioneer Commander XIII : 1944 (1 unité), - Fortress Pioneer Commander XIV : 1938,1942 (2 unités), - Fortress Pioneer Commander XVI : 1944 (1 unité), - Fortress Pioneer Commander XVIII : 1945 (1 unité), - Fortress Pioneer Commander XIX : 1942-1944 (5 AE), - Personnel des pionniers de la forteresse 1 : 1940-1944 (11 AE), - Personnel des pionniers de la forteresse 2 : 1938-1944 (3 AE), - Personnel des pionniers de la forteresse 3 : 1940-1944 (4 UA), - état-major pionnier de la forteresse 4 : 1940 (1 UA), - état-major pionnier de la forteresse 6 : 1926-1944 (16 UA), - état-major pionnier de la forteresse 7 : 1944 (1 UA), - état-major pionnier de la forteresse 8 : 1941-1944 (1 unité), - état-major des pionniers de la forteresse 9 : 1941-1945 (5 unités), - état-major des pionniers de la forteresse 10 : principalement 1935-1938 (environ 2000 unités), - état-major des pionniers de la forteresse 11 : 1937-1944 (3 unités), - état-major des pionniers de la forteresse 12 : 1935-1943 (41 UA), - état-major des pionniers de la forteresse 13 : 1936-1943 (56 UA), - état-major des pionniers de la forteresse 14 : principalement 1935-1938 (environ 400 UA), - état-major des pionniers de la forteresse 15 : 1938-1944 (2 AE), - Bâton des pionniers de la forteresse 16 : 1938-1940 (2 AE), - Bâton des pionniers de la forteresse 17 : 1938-1944 (5 AE), - Bâton des pionniers de la forteresse 18 : 1938-1940 (5 AE), - Bâton des pionniers de la forteresse 19 : 1938-1940 (5 AE), - Personnel des pionniers de la forteresse 19 : 1938-1940 (5 AE), - Personnel des pionniers de la forteresse 21 : 1942-1944 (4 AE), - Personnel des pionniers de la forteresse 22 : 1939-1941 (4 AE), - Personnel des pionniers de la forteresse 23 : 1939-1940 (2 AE), - Personnel des pionniers de la forteresse 24 : 1940-1944 (5 AE), - Personnel des pionniers de la forteresse 25 : 1939-1944 (8 AE), - Personnel des pionniers de la forteresse 26 : 1942-1943 (2 AE), - Personnel des pionniers de la forteresse 27 : 1941-1943 (2 AE), - Personnel des pionniers de la forteresse 28 : 1936-1945 (6 AE), - Personnel des pionniers de la forteresse 29 : 1940-1943 (2 AE), - Personnel des pionniers de la forteresse 30 : 1941-1942 (7 AE), - Personnel des pionniers 66 : 1944 (2 AE), - Pionier-Sonderstab Ewringmann (AOK 14, Italie du Nord) : 1944-1945 (5 AE), - Pionier-Erkundungsstab Nobiling (Italie) : 1944-1945 (4 AE), - Festungs-Nachrichtenstäbe 1, 3, 7, 10, 14, 15, 17, 18, 20 : principalement 1942-1943 (environ 50 AE), - Festungsdienste, Fungspionier-Abs a. Trèves, Düren, Traben-Trarbach) : principalement 1940-1944 (environ 80 unités), - les bureaux du commandant de la forteresse (par ex. Marienburg, St. Malo, Boulogne) : 1921-1945 (environ 40 AE), - de presque tous les sites géologiques militaires (environ 600 dossiers au total, principalement des rapports sur l'approvisionnement en eau et l'état des eaux en France, aux Pays-Bas et en Union soviétique), dans une large mesure sur les sites géologiques militaires suivants : 2 (environ 60 UA), 4, 5, 6 et 7 (environ 20 UA chacun), 16 (environ 50 UA), 17 (environ 70 UA), 20 (environ 40 UA), 21, 23, 26 et 28 (environ 30 UA chacun), 29 (environ 90 UA), 31 (environ 30 UA), Lviv (environ 30 UA). État d'avancement : Index des découvertes Portée, Explication : 4237 AE Méthode de citation : BArch, RH 32/.....

Cameroon Shipping Company : Vol. 1
BArch, R 1001/3890 · Dossier · Jan. 1913 - Dez. 1919
Fait partie de Archives fédérales (Archivtektonik)

Contient entre autres choses : Statuts de la Société coloniale "Kameruner Schiffahrts-Gesellschaft" à Hambourg. Berlin 1913 Messagerie's Fluvial du Congo Société Anonyme du capital de 3 000 000 de Francs, Paris 1913

Cameroun
BArch, N 2345/80 · Dossier · (1884) Aug. 1894 - Mai 1903
Fait partie de Archives fédérales (Archivtektonik)

Contient entre autres choses : Négociations sur le tracé de la frontière avec la France et la Grande-Bretagne Rapports annuels des sociétés commerciales au Cameroun Carte géographique

Cargaison des navires : vol. 5
BArch, RM 15/1605 · Dossier · 1940-1941
Fait partie de Archives fédérales (Archivtektonik)

Contient : "Fort de Vaux (français) ; Formose (français) ; Mecanirin Principal Carvin (français) ; Fort Medine (français) ; Baoule (français) ; Saint Basile (français) ; Aurillag (français) ; Agen (français) ; "Medjerda" (français) ; "Saint Didier" (français) ; "Fort Douaumont" (français) ; "Henry Desprez" (français) ; "Paris" (français) ; "Lafayette" (français) ; "Ville de Majunga" (français) ; "Sarcoxie" (français) ; "Tetuan" (français) ; "Lorient" (français) ; Verhaven" (néerlandais) ; Roslagen" (danois) ; Hulda Thorden" (danois) ; Karin Thorden" (danois) ; Brita Thorden" (danois) ; Disa" (danois) ; Manhattan" (américain) ; Washington" (américain) ; "Falcon" (allemand) ; "Pometol" (allemand) ; "Wakama" (allemand) ; "Togo" (inconnu) ; "Casamance" (inconnu) ; "Armdius" (inconnu) ; "Normanie" (inconnu) ; "Chateau Palmer" (inconnu) ; "Ville de Pamatave" (inconnu) ; "Margaux" (inconnu) contient également : Liste des marchandises qui ont été livrées avant le 3. Sept. 1939 est arrivé au Harve et d'autres libérations

Cargaison des navires : vol. 7
BArch, RM 15/1607 · Dossier · 1941
Fait partie de Archives fédérales (Archivtektonik)

Contient : "Oliva" (allemand) ; "Manizales" (allemand) ; "Togo" (allemand) ; "Wagogo" (allemand) ; "Niemburg" (allemand) ; "Ville de Reims" (français) ; "Arijon" (français) ; "Martiniere" (français) ; "Bourbonais" (français) ; "Ville de Tamatave" (français) ; "Arica" (français) ; "Alioth" (français) ; "Leoville" (français) ; "Fort de Troyen" (français) ; "Belle Isle" (français) ; "Cantal" (français) ; "Linois" (français) ; "Indiana" (français) ; "Forbin" (français) ; "Vendôme" (français) ; "Fort Binger" (français) ; "d'Entrecosteaux" (français) ; "Congo" (français) ; "Saint Octave" (français) ; "Ango" (français) ; "Fort de Vaux" (français) ; "Chateau Laroze" (français) ; "Margaux" (français) ; "Champlain" (français) ; "de la Salle" (français) ; "Colombie" (français) ; "Paris" (français) ; "Arigny" (français) ; "Formose" (français) ; "Barsac" (inconnu) ; "Trondanger" (inconnu) ; "Lady Cloe" (anglais) ; "Lady Emerald" (anglais) ; "Colwith Torre" (anglais) ; "City of Kobé/Cyclops" (anglais) ; "Clan Morison" (anglais) ; "Antilochus" (anglais) ; "City of Mandaley" (anglais) ; "Bangalore" (anglais) ; "Harmodius" (anglais) ; "Ville d'Athènes ; Washington ; West Cohas ; Président Harding ; Président Rooseweldt ; Manhattan ; "Brimanger" (norvégien) ; "Raul Soares" (brésilien) ; "Boringia" (néerlandais) ; "Delfshaven" (néerlandais) ; "Ceres" (néerlandais) ; "Parkhaven" (néerlandais) ; "Costa Rica" (néerlandais)

BArch, RH 18 · Fonds · 1929-1944
Fait partie de Archives fédérales (Archivtektonik)

Description du fonds : Le chef des archives de l'armée était le chef des archives de la partie de l'armée de la Wehrmacht ayant son siège officiel à Potsdam. Le chef des archives de l'armée était responsable des archives de l'armée à Potsdam, Vienne, Munich, Dresde et Stuttgart, des succursales des archives de l'armée à Prague et Gdansk, ainsi que des représentants dans les territoires occupés et de la station de repérage de la Wehrmacht pour les dossiers des proies. Le chef des Archives de l'Armée de terre était responsable de l'enregistrement des dossiers du Haut Commandement de la Wehrmacht, du Haut Commandement de l'Armée de terre avec ses bureaux subordonnés, des autorités de commandement, des troupes, des autorités administratives et autres institutions de l'armée (voir HDv. 30 Correspondance et transactions commerciales de la Wehrmacht, annexe 2). Le règlement d'utilisation réglemente le prêt et l'utilisation des archives de l'armée de terre (cf. BArch RH 18/437). Après trois ans de négociations, le ministre de l'Intérieur du Reich et de la Prusse et le ministre de la Guerre du Reich conviennent en septembre 1936 que les dossiers militaires doivent être repris par le Haut Commandement de l'Armée. Le 1er avril 1937, le chef des archives de l'armée et les archives de l'armée sous son commandement ont repris les archives militaires qui, depuis 1919, étaient administrées par le Reichsarchiv, ses filiales à Dresde et Stuttgart, et les archives de guerre à Munich. Le chef des archives de l'armée de terre était subordonné au chef du quartier-maître V de l'état-major général de l'armée jusqu'en 1942 et, avec la réorientation de l'écriture de l'histoire de guerre, Hitler subordonna le chef des archives de l'armée au commissaire du Führer pour l'histoire militaire, le Colonel Scherff, à compter du 1er juillet 1942. De 1937 à 1942, Friedrich von Rabenau fut le chef des archives de l'armée, de 1942 jusqu'à la fin de la guerre, Karl Ruppert, qui était responsable des archives de l'armée de Potsdam depuis 1937. La direction de la Heeresarchiv Potsdam et le bureau du chef des archives de l'armée ont été fusionnés en 1943. Heeresarchiv Potsdam Le Heeresarchiv Potsdam a été divisé en trois départements. Le département A administrait les archives de l'armée brandebourgeoise et prussienne, dont les archives allaient du XVIIe siècle jusqu'à la dissolution de l'armée prussienne en 1920. Le département B conservait les dossiers des formations de volontaires formées après la Première Guerre mondiale et du Reichswehr. La section C était destinée à l'enregistrement des dossiers de la Wehrmacht, c'est-à-dire à partir de 1935 avec le rétablissement de la souveraineté militaire. Les départements du Heeresarchiv Potsdam ont été divisés en domaines thématiques. Les autres unités organisationnelles comprenaient les collections, les domaines, les cartes et la collection d'images. En 1935, le département berlinois du Reichsarchiv (en particulier le ministère de la Guerre de Prusse après 1867) et le Bureau central des archives des pertes de guerre et des sépultures de guerre furent également subordonnés au Heeresarchiv Potsdam. Le Heeresarchiv Potsdam a continuellement repris les journaux de guerre de toutes les autorités de commandement et de toutes les troupes, ainsi que les dossiers judiciaires des tribunaux de campagne et de guerre dans le centre de collecte des dossiers judiciaires. Le centre de collecte de dossiers Ouest à Berlin-Wannsee enregistrait principalement des dossiers de butin provenant de divers bureaux militaires en France. La structure organisationnelle du Heeresarchiv Potsdam n'était pas uniforme et a changé plusieurs fois jusqu'en 1945. En matière territoriale, le Heeresarchiv Potsdam était lié par les instructions du commandant à Wehrkreis III (Berlin). Le 14 avril 1945, un raid aérien britannique sur Potsdam frappa durement le bâtiment de service et de magazines du chef des archives de l'armée et les archives militaires de Potsdam. Le fonds des archives de l'armée brandebourgeoise et prussienne a été presque détruit. Il s'agissait, entre autres, des dossiers du cabinet militaire prussien, des dossiers du ministère prussien de la Guerre, des dossiers de guerre des guerres d'unification et des journaux de guerre les plus importants avec annexes de la Première Guerre mondiale. Les dossiers personnels de l'armée prussienne et de la Reichswehr sont considérés comme presque entièrement détruits. En 1943, le Heeresarchiv Potsdam a confié à Liegnitz, en Silésie, l'enregistrement des journaux de guerre. Fin 1944, cette succursale fut transférée à Potsdam. Plus tard, le Heeresarchiv Potsdam a externalisé de grandes quantités de ses archives. Peu avant l'enceinte de Berlin, les journaux de guerre de la Seconde Guerre mondiale et quelques dossiers anciens particulièrement précieux furent transférés à Blankenburg dans le Harz et à Bad Reichenhall ou Kufstein dans "deux transports de 4-6 wagons chacun" (Poll). Les archives de Blankenburg ont été confisquées par les Alliés occidentaux. Il s'agissait des journaux de guerre des hauts commandements de l'armée, des commandements généraux, des divisions et d'autres départements de l'armée, ainsi que de parties d'anciens dossiers. Les journaux de guerre des plus hautes autorités de l'armée furent brûlés à Reichenhall et à Kufstein sur ordre de Scherff, le représentant du Führer pour l'historiographie militaire. La destruction d'anciens dossiers, successions et collections à Reichenhall pourrait être empêchée par le fonctionnaire responsable. Heeresarchiv Wien Le chef des archives de l'armée a repris les archives de guerre de Vienne après l'intégration de l'Autriche en 1938. Après le début de la Seconde Guerre mondiale, les Archives de l'armée de terre de Vienne se sont vu attribuer le Point de collecte des dossiers du Sud-Est pour la collecte des dossiers de butin de la région du Sud-Est. En matière territoriale, les Archives de l'armée de terre de Vienne étaient liées par les instructions du commandant du district militaire XVII (Vienne). Aujourd'hui, les Archives de guerre sont sous le contrôle des Archives d'État autrichiennes. Heeresarchiv München Après la fondation du Reichsarchiv en 1919, le Kriegsarchiv München a pu conserver son statut d'archive bavaroise indépendante et n'était pas subordonné au Reichsarchiv en tant que branche du Reichsarchiv, comme l'étaient les archives à Dresde et Stuttgart. En 1937, le chef du Heeresarchiv a repris le Kriegsarchiv München comme Heeresarchiv München. Les Archives de l'armée de terre de Munich ont couvert l'ensemble de la tradition militaire bavaroise de 1650 à 1920 environ et, après le début de la Seconde Guerre mondiale, les Archives de l'armée de terre de Munich ont été chargées de la collecte des dossiers dans le Sud, en particulier pour l'enregistrement des dossiers du butin italien. En matière territoriale, le Heeresarchiv München était lié par les instructions du commandant à Wehrkreis VII (Munich). Après la Seconde Guerre mondiale, le Kriegsarchiv München fut subordonné au Hauptstaatsarchiv bavarois. Malgré les pertes subies pendant la guerre, la plupart des collections ont été conservées et permettent de faire des recherches sur l'histoire militaire d'avant 1919 en remplacement des archives perdues des Archives de l'armée de Potsdam : les Archives de l'armée de Dresde En 1937, le chef des Archives de l'armée a repris la branche de Dresde du Reichsarchiv aux Archives du Reichsarchiv pour en faire les Archives de l'armée de Dresde. Ce service était responsable des stocks de l'armée saxonne (XII. (I. Royal Saxon) Army Corps et XIX. (II. Royal Saxon Army Corps). Le fonds des Archives de l'Armée de terre de Dresde couvre une période allant de 1830 à 1919, sans démarcation claire entre le fonds et les Archives principales de l'Etat de Dresde, les Archives de l'Armée de terre de Dresde étant liées aux instructions du commandant du district militaire IV (Dresde) en matière de territoire. Lors du raid aérien anglo-américain sur Dresde le 13 février 1945, les documents personnels de l'armée saxonne subirent des pertes. Malgré les pertes subies pendant la guerre, la plupart des collections ont été conservées et permettent de faire des recherches sur l'histoire militaire d'avant 1919 en remplacement des archives perdues des archives de l'armée de Potsdam, qui ont été rendues par le gouvernement de l'URSS au gouvernement de la RDA après guerre. Jusqu'à la réunification, ils étaient conservés dans les archives militaires de la RDA à Potsdam. Le Bundesarchiv-Militärarchiv a transféré les fonds à la Hauptstaatsarchiv Dresden en 1991. Heeresarchiv Stuttgart En 1937, le chef des archives de l'armée a repris la succursale de Stuttgart du Reichsarchiv sous le nom Heeresarchiv Stuttgart. Ce bureau était responsable des fonds du Corps d'armée du Wurtemberg (XIII (Corps d'armée royal du Wurtemberg) et du XIV (Corps d'armée du Grand-Duché de Bade-Wurtemberg). En matière territoriale, le Heeresarchiv Stuttgart était lié par les instructions du commandant du Wehrkreis V (Stuttgart). Le Heeresarchiv Stuttgart a été préservé sans pertes de guerre et, en remplacement des archives perdues du Heeresarchiv Potsdam, permet la recherche de sources pour l'histoire militaire avant 1919, aujourd'hui le Heeresarchiv Stuttgart est subordonné au Hauptstaatsarchiv Stuttgart. Les archives du XIVe Corps d'armée du Grand-Duché de Bade sont conservées dans les Archives générales de Karlsruhe, bien que le Grand-Duché de Bade de 1871 à 1919, contrairement à la Bavière, à la Saxe et au Wurtemberg, n'ait eu aucun droit de réserve militaire. Archives de l'armée de terre de Prague Les Archives de l'armée de terre de Prague ont administré les archives de l'ancienne armée tchèque et les archives de l'armée austro-hongroise en Bohême et en Moravie. Il était chargé de compléter les archives officielles par des collections, de mettre les fonds à la disposition des services de la Wehrmacht et de fournir des informations. En matière territoriale, les Archives de l'armée de terre de Prague étaient liées par les instructions du plénipotentiaire de la Wehrmacht auprès du protecteur du Reich en Bohême et en Moravie (Wehrkreisbefehlshaber à Böhmen et Mähren). La Branche des Archives de l'Armée de Gdansk La Branche des Archives de l'Armée de Gdansk a capturé les archives militaires capturées pendant les campagnes de l'Est, en particulier les Archives de l'Armée polonaise. Il devait enregistrer ce matériel, le rendre utilisable et fournir des informations à partir des dossiers. En matière territoriale, la Direction des archives de l'armée de Gdansk était liée par les instructions du commandant du district militaire XX (Gdansk). Le commissaire du chef des archives de l'armée auprès du commandant militaire en France Le commissaire du chef des archives de l'armée auprès du commandant militaire en France à Paris devait superviser et évaluer les archives de l'armée française. Il devait inventorier les sources sur l'histoire allemande, copier des documents et recueillir des documents historiques contemporains. Le commissaire du chef des archives de l'armée auprès du commandant militaire en Belgique et dans le nord de la France Le commissaire du chef des archives de l'armée auprès du commandant militaire en Belgique et dans le nord de la France à Bruxelles devait évaluer les archives de l'armée belge, permettre leur utilisation par les organismes allemands, inventorier les sources de l'histoire allemande, copier les documents et collecter des documents sur l'histoire contemporaine. Le commissaire du chef des archives de l'armée en Alsace-Lorraine Le commissaire du chef des archives de l'armée en Alsace-Lorraine à Metz s'est intéressé au réenregistrement des dossiers de l'armée allemande, à l'observation des dossiers des proies françaises, en particulier la ligne Maginot, et à la fourniture des dossiers des bureaux de la Wehrmacht. Le commissaire du chef des archives de l'armée aux Pays-Bas Le commissaire du chef des archives de l'armée aux Pays-Bas, basé à La Haye, était chargé de superviser et d'évaluer les archives de l'armée néerlandaise. Il devait inventorier les sources sur l'histoire allemande, copier des documents et recueillir des documents historiques contemporains. Le commissaire du chef des archives de l'armée auprès du commandant des forces allemandes au Danemark Le commissaire du chef des archives de l'armée auprès du commandant des forces allemandes au Danemark, basé à Copenhague, devait évaluer les archives de l'armée danoise et recueillir des documents sur l'histoire contemporaine. Le commissaire du chef des archives de l'armée du commandant de la Wehrmacht Norvège Le commissaire du chef des archives de l'armée du commandant de la Wehrmacht Norvège à Oslo a pris en charge la gestion des archives de l'armée norvégienne, a fourni des informations aux bureaux allemands et a recueilli du matériel historique contemporain. Après la chute de l'Italie et l'invasion de la Wehrmacht en Italie en 1943, le Commissaire du Chef des Archives de l'Armée en Italie a été chargé de sécuriser les dossiers de l'armée italienne pour l'écriture de l'histoire de la guerre et leur évaluation par la Wehrmacht. Après l'occupation de la Grèce, le commissaire du chef des archives de l'armée à Athènes était responsable de l'inspection et de la sauvegarde des archives de l'armée grecque ainsi que d'un inventaire archivistique et militaire. Le Commissaire du chef des archives de l'armée à Belgrade Le Commissaire du chef des archives de l'armée à Belgrade a évalué les dossiers de l'armée yougoslave, fourni des services de remplacement militaire, des bureaux des pensions et des informations sur les questions de réinstallation. De plus, il devrait collectionner du matériel historique contemporain. Le commissaire du chef des archives de l'armée à la Wehrmacht Commander Ostland Le commissaire du chef des archives de l'armée à la Wehrmacht Commander Ostland à Riga a géré et évalué les archives et fonds militaires à Riga, Kaunas, Vilnius. Il a fourni des informations pour les services de remplacement militaires et a enregistré les dossiers des armées allemande et polonaise. De plus, il devrait collectionner du matériel historique contemporain. Le commissaire du chef des archives de l'armée auprès du commandant de la Wehrmacht Ukraine Le commissaire du chef des archives de l'armée auprès du commandant de la Wehrmacht Ukraine à Kiev devait évaluer les archives militaires à Kiev et à Kharkov et enregistrer les dossiers militaires autrichiens et polonais. Il a participé à la collection de documents historiques contemporains. Le Commissaire du Chef des Archives de l'Armée au Commandant Général des Forces de Sécurité et Commandant dans le Secteur Nord de l'Armée Le Commissaire du Chef des Archives de l'Armée au Commandant Général des Forces de Sécurité et Commandant dans le Secteur Nord de l'Armée a dû évaluer les archives militaires saisies et recueillir du matériel historique. Le Commissaire du Chef des Archives de l'Armée au Commandant du Centre de Secteur de l'Arrière Armée Le Commissaire du Chef des Archives de l'Armée au Commandant du Centre de Secteur de l'Arrière Armée a dû évaluer les archives militaires saisies et recueillir du matériel historique. Wehrmacht-Sichtungsstelle für Beuteakten La Wehrmacht-Sichtungsstelle für Beuteakten a vérifié les fichiers de butin arrivant du front et les a transmis aux bureaux de la Wehrmacht, dans la mesure où ces fichiers lui paraissaient importants pour la suite de la guerre. En matière territoriale, le poste d'observation de la Wehrmacht pour les dossiers de pillages était lié aux instructions du commandant de la Wehrkreis III (Berlin). Prévention : Reichsarchiv Caractérisation du contenu : Les dossiers du chef des archives de l'armée de terre de RH 18 contiennent les dossiers personnels et matériels du "chef des archives de l'armée" et presque tous les bureaux qui lui sont subordonnés. En outre, l'inventaire contient les règlements et les annonces de l'autorité de commandement territorialement compétente, par exemple du commandant militaire en France ou du commandant à Wehrkreis VII (Munich). Les documents des fonds de l'Heeresarchiv Potsdam sont attribués aux fonds. Cela comprend les instruments de recherche des registres, les répertoires de livraison et les instruments de recherche des archives de l'armée. Ces documents donnent un aperçu du nombre et du contenu des anciens fonds et complètent les fonds perdus de l'armée prussienne par des documents d'organisation. Les listes de propriétés contiennent des renseignements biographiques. Une particularité de la collection RH 18 réside dans ses dossiers personnels qui, contrairement à la plupart des autres documents personnels de la Wehrmacht, n'ont pas été supprimés de la collection. Les dossiers du personnel ont été classés par les services respectifs. L'exposition permanente de l'Heeresarchiv Potsdam est virtuellement reconstituée dans le livre de recherche en ligne pour RH 18, organisé par vitrines ou par thèmes. Les journaux de guerre, les ordres, les conventions militaires, la correspondance entre des généraux bien connus et des documents de collection contemporains de 1679 à la fin de la Première Guerre mondiale ont été inclus dans les archives par le personnel du Heeresarchiv Potsdam. Les documents ont été classés par thèmes dans des vitrines d'exposition. Au verso des documents sont indiqués le domaine de responsabilité de l'Heeresarchiv Potsdam, les fonds et le numéro de série. Les Archives fédérales et les Archives militaires ne présentent pas ces documents d'archives sous leur forme originale, mais dans des microfiches. Une grande partie des documents était en stock dans MSg 101, qui a été complètement re-signée à RH 18. État d'avancement : Online-Findbuch Scope, Explication : 2482 AE Méthode de citation : BArch, RH 18/.....

Chefsachen Ia : Vol. 2
BArch, RW 34/10 · Dossier · 1941-1943
Fait partie de Archives fédérales (Archivtektonik)

Contient entre autres choses : Préparatifs de l'affaire "Axis" (les déchets de l'Italie), août 1943 Mesures contre les officiers français (propositions du commandant en chef West), juin 1943 Dt. Wünsche en France avec une attention particulière pour la guerre en Afrique du Nord (pourparlers entre le général Wünsche et le commandant en chef Wünsche). Vogl et l'amiral Darlan le 23 octobre 1942 à Rabat et entre Göring et Göring. Juin - Befehlsh. frz. Truppen/Nordafrika am 22. Dez. 1941) L'Allemagne en tant que puissance occupante en France (lettre d'Hitler à Marschall Pétain du 10 novembre 1941 - photocopie de la copie), 1941 souhaite à la France une considération spéciale de politique militaire. Situation des possessions coloniales françaises (extrait de la liste) Compte rendu de la conversation entre Göring et le maréchal Pétain à Florentin-Vergigny le 1er décembre. 1941) Préparation des opérations contre le reste de la France et la péninsule ibérique (compagnies "Attila", "Isabella", "Anton" et "Ilona"), 1942 approvisionnement des forces armées germano-italiennes en Afrique du Nord, 1941-1942 répartition de l'armée italienne en Italie, dans les Balkans et en Afrique du Nord (cartes 1:3.000.000), au 13 mai, 3 août. 1941 Réflexions sur la coopération franco-allemande dans le domaine naval (mémorandum de la Sous-commission Marine), juillet 1941 Structure, équipement et instructions pour le "Sonderstab F", sept. 1941 Utilisation de Dakar comme base sous-marine, juin 1941 Accords militaro-politiques franco-allemands sur la Syrie-Irak et l'Afrique du Nord (projet de protocole des négociations à l'ambassade d'Allemagne à Paris le 21 mai 1941), 1941 "La situation actuelle de la France" (traduction du protocole français de la réunion entre le Président français de la délégation française à l'armistice), Gen. Doyen, et Président de l'armistice allemand, Gen. v. Stülpnagel le 6 janvier 1941 Coopération germano-italienne, en particulier dans les affaires militaires (Rapport de la délégation allemande de liaison à l'armistice italien pour la semaine du 16 au 23 janvier 1941), 1941 Exploitation économique de la France (Chief OKW, Field Marshal General Keitel, au chef du Wehrwirtschafts- und Rüstungsamt, général Thomas), janvier 1941

BArch, R 86/5825 · Dossier · 1893-1908
Fait partie de Archives fédérales (Archivtektonik)

Contient entre autres choses : Inspection sanitaire des navires de mer faisant escale dans un port allemand, 1894, 1897 ; projet de programme du Département allemand des soins de santé, des soins sociaux et de l'assurance des travailleurs à l'Exposition universelle de Paris, 1900, 1898 ; établissement d'un médecin allemand à Tanger, 1900 ; instructions pour la désinfection des maladies infectieuses humaines et animales, 1900

BArch, RW 35 · Fonds · 1939-1945
Fait partie de Archives fédérales (Archivtektonik)

Description du stock : Le commandant militaire, France, exerçait l'autorité suprême dans les parties de la France occupées depuis 1940, à l'exception des départements de l'Alsace et de la Lorraine, qui étaient placés sous le commandement des administrations civiles, et des départements du Nord et du Pas de Calais, dont le commandant militaire était responsable en Belgique et en France du Nord (voir également les annexes énumérées ci-dessous). Les tâches du commandant militaire n'étaient pas tant axées sur les questions militaires (par exemple, la défense contre les tentatives de débarquement de l'ennemi, la protection des côtes) que sur les questions administratives et économiques. Après l'occupation allemande du sud de la France en 1942, le général allemand est chargé des affaires militaires du commandant en chef Ouest à Vichy. Annexes : 1ère structure de l'administration militaire en France (au 29 juillet 1940) 2ème plan structurel du personnel administratif (à la fin novembre 1941) 3ème plan structurel du personnel administratif (au 1er novembre 1942) 4ème plan structurel de l'administration militaire en France (au 1er mars 1944) 5ème plan structurel de l'administration militaire en France (au 1er mars 1944) Utilisation des bureaux des commandants sur le terrain en territoire français occupé (au 15 mars 1941) 6. utilisation des bureaux des commandants sur le terrain, des bureaux des commandants sur le terrain, des états-majors principaux et de liaison allemands, des filiales et des bureaux des commandants carrés (au 1er août 1944) Caractérisation du contenu : On ne connaît pas exactement l'ampleur des documents perdus en raison des effets de la guerre. Plus de la moitié des documents archivés aux Archives fédérales proviennent du personnel administratif du commandant militaire (rapports d'activité, contrôle de la législation française, administration de la justice, questions de police, gestion de l'économie française, exploitation minière, opérations de travail, enregistrement des documents d'intérêt allemand dans les bibliothèques et archives françaises). Dans les documents de l'état-major de commandement, les rapports généraux d'activité méritent une mention spéciale. En outre, il y a des ordres, des ordres et des rapports des districts administratifs militaires et quelques fragments de documents de l'état-major du renseignement sur les services de renseignement de la Ligne Maginot. Le stock contient du matériel selon la structure suivante : 1. stocks 2. commandement état-major commandant militaire France 2.1 commandant 2.2 division Ia (division opérations) 2.2.1 Organisation et gestion territoriale 2.2.2.2.3 Rapports de situation 2.2.4 Sécurité militaire des territoires occupés 2.2.5 Répertoires téléphoniques 2.2.6 Autres documents 2.2.7 Département Ia/Stopi (pionnier) 2.2.8 Département Ia/Gabo (défense gaz) 2.2.9 Département Ia/Mil.Geo. (Géographie militaire) 2.3 Division Ib (Approvisionnement et fournitures) 2.3.1 Division Ib (1) (Logement) 2.3.2 Division Ib (3) (Prisons) 2.3.3 Division Ib/VOLS (Protection aérienne) 2.4 Division Ib (Approvisionnement et fournitures) 2.3.1 Division Ib (1) (Hébergement) 2.3.2 Division Ib (3) (Prisons) 2.3.3 Division Ib/VOLS (Défense aérienne) 2.4 Division Ib (Air Defence) Ic (conseil politique, humeur, défense) 2.5 Abt. IIa (questions de personnel) 2.6 Oberquartiermeisterabteilung Paris/France 2.7 Höhererer Nachrichtenführer 2.8 Oberstkriegsgerichtsrat 2.9 Dept. IVa (Intendant) 2.10 Front de travail/armée de terre allemande - Président du Commandant militaire France 2.11 Département de la propagande 2.12 Quartier général 3.1 Chef de l'administration militaire 3.1.1 Organisation 3.1.2 Rapports d'activités 3.1.3 Rapports opérationnels 3.2 Département central de l'administration militaire 3.2.1 Organisation 3.2.2.2 Rapports de situation 3.2.3 Commandements d'état-major 3.2.4 Affaires de défense 3.2.5 Ressources humaines 3.2.6 Divers 3.2.3 Payeur 3.4 Chef de poste de campagne de l'Armée de terre à l'administration militaire en chef 3.5 Administration des départements 3.5.1 Administration générale (Division V 1) 3.5.1.1.1 Administration générale et interne (Groupe V 1/1) 3.5.1.1.1.1 Rédaction 3.5.1.1.2 Mesures administratives 3.5.1.1.1.3 Police 3.5.1.2 Administrations culturelles et artistiques (Groupe V 1/2) 3.5.1.2.1 Protection de l'art - Einsatzstab Rosenberg 3.5.1.1.2.2.2 Archives de référence 3.5.1.2.2.1 Rapports de situation 3.5.1.2.2 Services internes 3.5.1.2.2.2.3 Expertise, élaboration, conférences et articles de presse 3.5.1.2.2.2.4 Supervision des archives françaises 3.5.1.2.2.2.5 Direction de la protection archivistique 3.5.1.2.2.2.6 Correspondance avec le Directeur général des Archives d'Etat - Commissaire à la protection des archives 3.5.1.1.2.2.2.7 Réclamations allemandes de matériel d'archives 3.5.1.2.2.2.8 Fugitifs des archives et rapatriements 3.5.1.2.2.2.9 Mesures en Alsace/Lorraine 3.5.1.1.2.2.2.10 Luxembourg 3.5.1.2.2.2.11 Inventaire et copie des documents d'archives 3.5.1.2.2.12 Archives nationales 3.5.1.2.2.2.13 Archives ministérielles 3.5.1.2.2.2.13.1 Ministère de la Guerre 3.5.1.2.2.2.13.2 Ministère des Affaires étrangères 3.5.1.2.2.14 Archives municipales et départementales 3.5.1.2.2.2.15 Rhénanie 3.5.1.2.3 Protection des bibliothèques Section 3.5.1.2.3.1 Bibliothèque Nationale 3.5.1.2.3.2 Instituts et bibliothèques 3.5.1.3 Transport (Groupe V 1/3) 3.5.2 Justice (Ministère V 2) 3.5.2.1 Administration de la justice et questions juridiques générales (Groupe V 2/1) 3.5.2.2.1.1.1 Rapports et ressources humaines 3.5.2.1.2 Questions administratives 3.5.2.1.3 Droit international et représailles 3.5.2.1.4 Législation, assistance juridique et administration françaises 3.5.2.1.1.5 Affaires pénales 3.5.2.1.6 Mesures de police 3.5.2.2.2 Questions juridiques économiques (Groupe V 2/2) 3.5.2.2.1 Saisies et réparations 3.5.2.2.2.2 Divers 3.5.3 Finances (Division V 3) 3.5.3.1 Gestion financière (Groupe V 3/1) 3.5.3.1.1 Questions douanières et frontalières 3.6 Division économique 3.6.1 Affaires économiques générales et transports économiques (Dept. Wi I) 3.6.1.1.1 Décrets, rapports quotidiens, rapports d'activité 3.6.1.2 Règlements économiques spéciaux 3.6.1.3 Affaires générales et dé-juifification (Groupe Wi I/1) 3.6.1.3.1 dé-juifification de l'économie (Réf. Wi I/1b) 3.6.1.3.2 Activités fiduciaires et de révision (Réf. Wi I/1c) 3.6.1.3.2.1 Administration provisoire 3.6.1.3.2.2.2 Audits 3.6.1.4 Actifs de raffinage (groupe Wi I/2) 3.6.1.5 Statistiques (groupe Wi I/3) 3.6.1.6 Transport économique (groupe Wi I/4) 3.6.1.7 Délocalisation et risque de guerre 3.6.1.8 Marché noir 3.6.1.9 Activité économique en France et en Allemagne 3.6.1.10 Divers 3.6.2.2 Economie commerciale (division Wi II) 3.6.2.1 ROGES, Rohstoffhandelsgesellschaft m.b.H. - Rohstoffeinkauf in Frankreich 3.6.2.2 Industrie minière et charbonnière, minéraux et terres (groupe Wi II/A) 3.6.2.2.2.1 Exploitations, aménagement et gestion (Ref. Wi II/A/1) 3.6.2.2.2.1.1.1 Rapports de situation 3.6.2.2.2.1.2 Services publics 3.6.2.2.2.2.1.3 Réglementation des prix 3.6.2.2.2.1.4 Statistiques 3.6.2.2.2.2.2.2 Extraction et gestion du sel et des minéraux (Ref. Wi II/A/2) 3.6.2.2.2.3 Pierres et terres (Réf. Wi II/A/3) 3.6.2.2.2.4 Potasse (Réf. Wi II/A/4) 3.6.2.2.2.5 Mines coloniales 3.6.2.2.6 Ressources humaines, salaire, grève 3.6.2.2.7 Divers 3.6.2.3 Industrie pétrolière (Groupe Wi II/B) 3.6.3 Alimentation et agriculture (Division Wi III) 3.6.4 Foresterie, chasse et sylviculture (Division Wi IV) 3.6.5 Commerce extérieur, affaires monétaires et assurances (Division Wi V) 3.6.6 Régulation des prix (section Wi VI) 3.6.7 Main-d'œuvre et services sociaux (section Wi VII) 3.6.7.1 Recrutement de travailleurs en Allemagne, facteur travail intrafrançais (groupe Wi VII/B) 3.6.7.1.1.1 Recrutement de la main-d'œuvre en Allemagne (groupe Wi VII/B/I) 3.6.7.1.2 Le facteur travail intrafrançais (groupe Wi VII/B/II) 3.6.7.2 Sécurité sociale et formation des salaires (Groupe Wi VII/C) 3.6.8 Finances (Dept. Wi VIII) 3.6.8.1 Rapports de situation 3.6.8.2 Généralités 3.6.8.3 Impôts 3.6.8.4 Logement 4. districts administratifs militaires 4.1 Quartier militaire Paris 4.2 Quartier militaire A (Nord-Ouest de la France) 4.2.1 Département Ia (Division des opérations) 4.2.2 Département Ic (Défense) 4.2.3 Officier d'état-major de la gendarmerie de campagne 4.2.4 Abt. IIa (questions de personnel) 4.2.5 Quartiermeister 4.2.6 Nachrichtenführer 4.2.7 Abt. III (tribunal) 4.2.8 Abt. IVa (intendant) 4.2.9 Abt. IVb (affaires médicales) 4.3 District administratif militaire B (Sud-Ouest de la France) 4.3.1 Division Ia (Division des opérations) 4.3.2 Division IIa (Affaires du personnel) 4.3.3.3 Quartier-maître 4.3.4 Agent de renseignement 4.3.5 Division IVa (intendant) 4.3.6 Divers 4.4 District administratif militaire C (Nord-Est de la France) 4.4.1 Organisation 4.4.2 Division Ia (Division des opérations) 4.4.3 Division Ic (Défense) 4.4.4 Officier d'état-major de la gendarmerie régionale 4.4.5 Quartier-maître 4.4.6 Division IVa (Intendant) 4.4.7 Pionniers 4.4.8 Divers 4.5 Commandant de la zone armée du Sud de la France 4.5.1 Division Ia/Gabo (Service de défense gaz) 4.5.2 Quartier-maître 4.5.3 Département de l'administration et de l'économie 4.6 District militaire de Bordeaux État d'avancement : périmètre Findbuch, explication : méthode de citation 1220 AU : BArch, RW 35/.....

BArch, RH 23 · Fonds · 1939-1945
Fait partie de Archives fédérales (Archivtektonik)

Description de l'inventaire : Le commandant Rückwärtiges Armeegebiet (Korück) a été créé lors de la mobilisation comme poste de commandement des commandos de la Wehrmacht. Les Korück servaient à l'administration des zones ennemies occupées, directement entre la zone de combat et les zones de l'armée arrière, sous l'administration des groupes d'armées. Au début de la guerre, il y avait neuf Korücks, au cours de la guerre, d'autres Korücks ont été construits au besoin. Pendant la guerre, certains Korücks ont été transformés en commandants suprêmes. Un Korück se composait de 17 officiers, 6 fonctionnaires, 18 sous-officiers et 38 équipages, plus 7 "Hilfswillige. La tâche consistait à sécuriser les voies d'approvisionnement, les bases d'approvisionnement, les lignes de chemin de fer, les liaisons de communication, les aéroports les plus importants ainsi qu'à garder et transporter les prisonniers de guerre. Les Korück étaient responsables des divisions et régiments de sécurité, des bataillons de Landesschützen, des postes de commandement sur le terrain et dans les orcs, des unités de la gendarmerie sur le terrain et de la police secrète sur le terrain, ainsi que du personnel des points de collecte des prisonniers et des camps de transit (Doulag). Les Korück ont été distribués comme suit pendant la campagne de Pologne : A l'est : 3ème armée (501), 4ème armée (580), 8ème armée (530), 10ème armée (540), 14ème armée (520), HGr. sud (570) à l'ouest : 5ème armée (560), 1ère armée (590), 7ème armée (550) Les Korücks 581-589 et 591-592 furent rassemblés entre le 10 et 16 septembre 1939. Au total, 20 Korücks sont restés en Pologne ou ont été utilisés d'une autre manière : 501 comme 421.division d'infanterie en Prusse orientale 530 comme Oberfeld-Kommandantur (OFK) Warschau, puis 386.Division d'infanterie 570 sous le nom d'OFK Cracovie, puis transférée aux Pays-Bas 581 sous le nom d'OFK Radom, puis 372 sous le nom de Staff "Oberost" (commandant en chef Est), puis sous le nom de Bureau du commandant Varsovie 587 sous celui d'OFK Tschenstochau, puis 351.Division d'infanterie Le 5.01.1940, 3 autres Korück (670-672) furent établis, mais furent rebaptisés avec d'autres encore à l'hiver 1939/1940 en Oberfeldkommandantanturen et furent utilisés après la campagne de France comme suit : 520 comme OFK 520 à Mons 570 comme OFK 570 à Gent 589 comme OFK 589 à 591 Liège comme district administratif militaire A Saint-Guy.Germain (initialement OFK) 592 comme District administratif militaire C Dijon (initialement OFK) 670 comme OFK 670 à Lille 671 comme District administratif militaire B à Angers (initialement OFK) 672 comme OFK 672 à Bruxelles Pour les armées seulement : HGr. B 18.Armee, Korück 588, puis (1942) commandant H.Gebiet Südfrankreich 6.Armée, Korück 585 HGr. A 9. armée, Korück 582 2. armée, Korück 583 4. armée, Korück 580 12. armée, Korück 560 16. armée, Korück 584 HGr. C 1. armée, Korück 590 7. armée, Korück 550 Comme les armées en France ne disposent plus de territoire militaire après l'armistice, le bureau du Korück a également été supprimé avec elles. Dans la campagne de Russie et sur les autres théâtres de guerre, les armées de Korück ont été affectées du nord au sud comme suit : 20.Geb.Armee Korück 525 (10.09.1941, d'abord pour la Carélie orientale) HGr Nord 18.Armee 583 (du 2.Armee Westen) 16.Armee 584 (à l'Ouest) HGr. Mitte 9.Armée 582 (comme à l'Ouest ; échange en août 1943 avec la 2.Pz.Army, maintenant 532) 3.Pz.Army 590 (de la 1.Army West) 4.Army 559 (01.02.1041) 2.Pz.Army 532 (16.02.1942 ; Echange août 1943 avec la 9ème Armée, maintenant 582 dans les Balkans) HGr. B 2.Armée 580 (de la 4ème Armée Ouest) 4.Pz.Armée 593 (15.01.1942 ; Décembre 1942 Echange avec la 6.Armée, maintenant 585) 6.Armée 585 (comme à l'Ouest ; décembre 1942 Echange avec l'Armée 4.Pz., maintenant 593) HGr. A 1.Pz.Armée 351 (27.03.1942) 17.Armée 550 (de 7.Armée Ouest) 11.Armée 553 (01.02.1041 ; resté en Crimée ; 1943 dissous) Balkans 12.Armye/HGr. E : 560 (devenu 01.10.1942 Commande) Armée 511 ( 1944 ?) La 8e Armée nouvellement établie dans le sud de la Russie en 1943 a d'abord eu le Korück 595, qui est allé en Italie comme OFK 379 et a été remplacé le 01.10.1943 par le Korück 558 (ex OFK 787 Kharkov). En 1944, les armées de l'Ouest reçurent également un Korück : 1.Armée 535 (01.10.1944 comme Korück AOK 1) 7.Armée 534 (10.01.1945) - ou 534 avec la 1.Fallsch.Armée (vraisemblablement de OFK 770) 15.Armée 517 (décembre 1944 du Feld-Kommandantur 517) 19 Armée 536 (1944/1945) 25 Armée 533 (novembre 1944 de l'OFK 670) (selon Tessin, Georg : Associations et troupes et la Wehrmacht et Waffen-SS allemande pendant la Deuxième Guerre mondiale 1939-1945, 1er volume) Osnabrück 1979) Caractérisation du contenu : Les journaux de guerre des Korück ont survécu. Il s'agit principalement de mesures de sécurité et d'approvisionnements, d'opérations contre des partisans avec des rapports de combats entre les troupes et la police. En outre, il y a des commandes, des instructions de service et des arrangements, par exemple pour l'approvisionnement. De plus, les rapports de situation, de combat, d'activité et de déploiement ainsi que les documents organisationnels et personnels (listes de personnel, etc.) sont disponibles dans l'inventaire. Occasionnellement, des photographies et des cartes (cartes des opérations et des lieux) ont été transmises. Une partie des documents a déjà été remise aux archives de l'armée à Potsdam pendant la guerre. Après la fin de la guerre en 1945, les documents ont été confisqués par les forces armées américaines. Après leur retour au Centre de documentation du Bureau de recherche en histoire militaire dans les années 1960, les fonds ont été repris par les Archives militaires des Archives fédérales. État d'avancement : Findbuch Zitierweise : BArch, RH 23/.....

BArch, RM 35-II · Fonds · 1939-1945
Fait partie de Archives fédérales (Archivtektonik)

Histoire de l'inventeur : Le Commandement du Groupe naval Ouest a été formé en août 1939 à Wilhelmshaven comme état-major de commandement opérationnel pour la baie d'Allemagne, la mer du Nord et l'Atlantique. Après la campagne de France, elle transfère son quartier général à Paris et une partie de ses pouvoirs au Commandement du Groupe naval Nord. Le commandant en chef du Commandement du Groupe naval Ouest était simultanément le commandant de l'Amiral France. En octobre 1944, le Maritime-Negruppenkommando West fut remplacé par le Marineoberkommando West à Bad Schwalbach. Description : Le Commandement du Groupe naval Ouest a été formé en août 1939 à Sengwarden près de Wilhelmshaven comme état-major de commandement opérationnel pour la baie d'Allemagne, la mer du Nord et l'océan Atlantique. Après la campagne française, elle a pris son siège à Paris et a transféré une partie de ses compétences au Commandement du Groupe naval Nord. Son commandant en chef était l'amiral commandant France, dont l'état-major a été intégré au commandement du groupe en novembre 1942 en tant que chef d'état-major de quartier-maître, qui depuis lors n'était pas seulement l'état-major du commandement opérationnel, mais qui effectuait également le service militaire et des tâches liées au lieu. En octobre 1944, le commandement du groupe naval Ouest fut remplacé par le commandement naval Ouest à Bad Schwalbach. Son commandant en chef était en même temps commandant en chef de la Wehrmacht de toutes les troupes de l'armée de terre, de la marine et de l'armée de l'air enfermées dans les zones fortifiées de la France. Caractérisation du contenu : Outre le journal de guerre du 23.8.1939 au 31.1.1945, le fonds comprend également des dossiers sur l'occupation de la Norvège, les préparatifs du débarquement en Angleterre et les opérations des concasseurs de blocus, cuirassés et croiseurs auxiliaires arrivant dans les ports français, les dossiers opérationnels des compagnies "Weserübung", "Seelöwe", "Rheinübung" et "Cerberus" ne figurant pas dans les registres. Les fichiers du West Marine Command ne sont plus disponibles. État de développement : Findbuch Scope, Explication : 384 Méthode de citation : BArch, RM 35-II/....

BArch, PH 3-KART · Fonds · 1914-1919
Fait partie de Archives fédérales (Archivtektonik)

L'histoire du concepteur de l'inventaire : Tâches et organisation suit essentiellement : (1) Jany, Curt : History of the Prussian Army from the 15th century to 1914, 2nd ed. Édition (= Die Königlich Preußische Armee und das Deutsche Reichsheer 1807 bis 1914, vol. 4), Osnabrück 1967, pp. 294-296 (2) Cron, Hermann : Geschichte des deutschen Armeres im Weltkriege 1914 bis 1918, Berlin 1937, pp. 3-23. (3) PH 3/124 Die Organisation des Großen Generalstabes 1803-1914 (4) PH 3/1026 Die Organisation des Großen jusqu'à sa dissolution en 1919, manuscrit de HOAR Stoeckel) (5) PH 3/1272-1273 Représentation graphique de l'évolution de l'organisation du Grand Etat Major Général 1802-1914 (6) PH 3/310 Première introduction à l'organisation et aux activités de l'Etat Major Adjoint des Forces armées (1919) (7) Militärgeschichtliches Forschungsamt, MGFA (sous la direction du MGFA, Institut allemand pour la recherche historique militaire) (ed. de l'historien allemand HOAR Stoeckel)) : L'histoire militaire allemande en six volumes 1648 - 1939, Munich 1983 et suivants, pp. 69-72 (8) Enzyklopädie Erster Weltkrieg, ed. v : Gerhard Hirschfeld, Gerd Krumeich, Irina Renz en collaboration avec Markus Pöhlmann, édition mise à jour et étendue, Paderborn 2009, p. 754f. (9) PH 3/3 (10) Waldemar Erfurth : The History of the German General Staff 1918-1945 (= Etudes sur l'histoire de la Seconde Guerre mondiale, éd. par Arbeitskreis für Wehrforschung in Frankfurt/Main, vol. 1), Göttingen 1957. 1. Großer Generalstab und Oberster Heeresleitung Großer Generalstab (7) Par l'ordre du Cabinet du 24 mai 1883, le Generalstab est devenu une autorité immédiate (Immediatbehörde), en fait il occupait cette fonction depuis les guerres d'unification. L'état-major général était également affecté indépendamment et directement au monarque par le ministère de la Guerre. Les tâches du Ministère de la Guerre et du Grand Etat Major se chevauchent en partie, ce qui conduit parfois à des conflits. Le poste de chef d'état-major de l'état-major général est respecté, mais, hormis la gestion opérationnelle en cas de guerre, il n'est pas doté de pouvoirs importants. L'Etat-major général exerce néanmoins une influence décisive sur la formation de l'armée par la formation des chefs (l'Académie de guerre est subordonnée au Grand Etat-major général), le soin de la formation des troupes à la guerre et le traitement de toutes les questions liées à la conduite d'une mobilisation et à une guerre. Ses activités comprenaient la culture de l'enseignement des sciences de la guerre, en particulier l'étude et le traitement de l'histoire de la guerre, la collecte de nouvelles et de matériel statistique sur les armées étrangères et les différents théâtres de guerre, la cartographie, la recherche et la description de son propre pays. En temps de paix, il n'y a pas eu de changements profonds dans l'organisation du Grand état-major général, mais seulement quelques extensions dues à l'élargissement des tâches de l'état-major général. Selon l'article 63 de la Constitution du Reich allemand du 16 avril 1871, l'ensemble de la puissance terrestre du Reich constituait une armée unifiée, sous le commandement de l'Empereur en temps de guerre et de paix. En paix, le chef du grand état-major général n'avait pratiquement aucun pouvoir de commandement et aucun droit d'inspection. Il n'a fait qu'agir comme chef et supérieur disciplinaire du Grand état-major général. Le pouvoir de commandement le plus élevé était en fait celui de l'empereur, mais en pratique, c'était le chef de l'état-major général de l'armée. Pendant la guerre, le chef d'état-major général donne des ordres opérationnels au nom de l'empereur conformément au règlement de mobilisation et est coresponsable de la gestion et de l'exécution des opérations militaires ainsi que des autres branches du service (remplacement des munitions, restauration, santé, service de scène). Avec la mobilisation du 2 août 1914, le chef de l'état-major général prussien de l'armée a été formé en tant que "chef de l'état-major général de l'armée de campagne" et l'OHL, qui était situé dans le Grand quartier général. Le chef d'état-major général de l'Armée de terre incarnait donc la Ligue de l'Ontario et il a toujours été assimilé à elle par concept. Le 5 août 1914, l'état-major général adjoint de l'armée est mobilisé à Berlin. Ce dernier est resté en vigueur jusqu'au 31 janvier 1919. Avec la démobilisation, de Große Generalstab reprend ses activités le 1er février 1919, à l'exception des postes qui restent à la OHL. (10) Sur la base du Traité de Versailles, la dissolution du Grand Etat Major Général fut décidée et initiée en juillet 1919. Le 4 juillet 1919, le général de division von Seeckt reprit les affaires du chef d'état-major général. Le nom du service est maintenant "Général von Seeckt". Le 30 septembre 1919, le grand état-major général est finalement dissous avec la création d'un bureau de liquidation à partir d'une partie du département central. Les chefs d'état-major général de l'armée en Prusse de 1857 à 1918 Le général Hemuth Karl Bernhard von Moltke, feld-maréchal de campagne 1857-1888 Le général Alfred Heinrich Karl Ludwig von Waldersee 1888-1891 Le général Alfred Graf von Schlieffen 1891-1906 Le général Helmuth von Moltke 1906-1914 a formé quatre OHLs entre 1914 et 1918 (8) 1. OHL : Général Colonel Helmuth von Moltke, Chef d'état-major général de l'Armée de terre du 2 août au 14 septembre 1914 2 OHL : Général de l'infanterie Erich von Falkenhayn, Chef d'état-major de l'Armée de terre du 14 août au 14 septembre 1914 2. 3 septembre (officiellement du 3 septembre 1914) au 29 août 1916 3e OHL : Maréchal général Paul von Beneckendorff et von Hindenburg, chef de l'état-major général de l'armée de campagne du 29 août 1916 au 9 novembre 1916. 1918, commandant en chef de l'armée de campagne du 9 novembre 1918 au 3 juillet 1919, assisté du premier quartier-maître général de l'infanterie Erich von Ludendorff, du premier quartier-maître général du 29 août 1916 au 26 octobre 1918, puis du lieutenant général Wilhelm Groener, du 29 octobre 1918 au 3 juillet 1919 4. OHL : Le lieutenant-général Wilhelm Groener a pris la relève de l'OHL après la démission de Hindenburgs le 25 juin 1919 jusqu'à la dissolution le 30 septembre 1919 3. le développement organisationnel du Grand état-major général L'organisation du Grand état-major général depuis le 1er avril 1889 (1) Le Quartermaster General fut de nouveau supprimé, mais le 1er avril 1889 trois quartmasters (Q.O.R) furent créés. Bureau central (à partir de 1890 Division centrale) Oberquartiermeister (O. Q.) I depuis le 1er avril 1889 : Ordre de Bataille de la 2e Division et déploiement de la Section des chemins de fer de la Division des chemins de fer de l'Armée allemande La Section des chemins de fer était responsable de l'opération et de la formation du Régiment des chemins de fer, subordonné au chef d'état-major général des Forces armées et de la Division dirigeable. Eisenbahn-Regiment Oberquartiermeister (O.Q.) II 4ème Section - Nouvelle formation pour les affaires des forteresses étrangères et la préparation des projets d'attaques, avec AKO du 19 décembre 1889 le Département des forteresses étrangères a été ajouté par le Comité du génie Département Géographique-Statistique (depuis 1894 un département indépendant) Section allemande - Affairs of the Academy of War and the training trip of the General Staff Oberquartiermeister (O.Q.) III 1re Division (Russie, États scandinaves, Autriche, Balkans, etc.) 3e Division (France, Angleterre, Belgique, Pays-Bas, Suisse, Italie) Division de l'histoire de la guerre Enregistrement national Le poste de Quartier général a été supprimé. Structure du grand état-major général de l'armée de terre depuis 1908 (1) Quartier-maître en chef de la 6e Division (Manoeuvre) de la Division centrale (1) Quartier-maître en chef de la 6e Division (Manoeuvre) I 2e Division (Aufmasch) Section technique (Force aérienne) 4e Division (Forteresses étrangères du théâtre de guerre occidental) 7e Division (forteresses étrangères du théâtre de guerre est) Chef de la Division ferroviaire (O.Q.) II 3e Division (Q.G) Département (Armées étrangères à l'Ouest) 9e Département (Colonies allemandes) Oberquartiermeister (O. Q.) III 5e Département (Voyages d'entraînement de l'état-major général) 8e Département (Affaires de l'Académie de guerre) Oberquartiermeister IV (nouvellement ajouté depuis le 1er avril 1894) 1er Département (Armées étrangères à l'Est) 10e Département (Armées étrangères à l'Est) Oberquarmeister V Département historique de guerre I et II Le Chef du Grand Etat Major Département Central (Personnel, Organisation, Administration) avec Section III b (Communications) 6ème Section (Manœuvres) Département d'Histoire de Guerre II (Ancienne Histoire de Guerre) Chef Quartier-maître (O.Q.) I. 2. (Division allemande) - Division du déploiement et des opérations Division des chemins de fer Section 1a (pour la révision de l'ordre de transport militaire) 4e Division (Forteresses étrangères) Chef Quartermaster (O.Q.) II 3e Division (France avec Maroc, Angleterre avec Égypte, Afghanistan) 9e Division (Italie, Belgique, Suisse, Pays-Bas, Espagne, Portugal, Amérique, colonies allemandes) Chef Quartermaster (O.Q.) IIIe Division (études opérationnelles) 8e Division (études opérationnelles) Division (Académie de guerre et Service de l'état-major général) Quartier-maître en chef (O.Q.) IV 1re Division (Russie, États nordiques, Asie orientale, Perse, Turquie) 10e Division (Russie, États du Nord, Asie orientale, Perse, Turquie) Oberquartiermeister V Kriegsgeschichtliche Abteilung I (neuere Kriege) Kriegsarchiv Kartenarchiv Chief of the Landesaufnahme and Oberquartiermeister Trigonometrische Abteilung Topographische Abteilung Kartographische Abteilung Photogrammetische Abteilung Kolonialsektion Der Chef des Generalstabes des Feldheeres 1914bis 1918 (2) Départements de l'état-major général Département central Elle était chargée de recevoir et d'acheminer la correspondance aux départements concernés, en coopération avec le Cabinet militaire pour les questions de personnel et l'administration. Le département était dirigé par le colonel von Fabeck et, à partir du 26 mars 1916, par le colonel Tieschowitz von Tieschowa. Département des opérations Département ayant le lien le plus étroit avec le chef d'état-major. Elle était aussi le bureau pour ses lettres personnelles. Il était chargé de créer les conditions de toutes les mesures opérationnelles de l'armée : suivre l'organisation et l'organisation de l'ensemble de l'armée et proposer des améliorations ainsi que l'entraînement, l'armement et la capacité opérationnelle des unités. Le Chef du Département de l'Opéra était chargé de conseiller le Chef d'Etat Major Général, d'établir les plans opérationnels de l'Etat Major Général et de donner ses ordres. Pendant la guerre, le département a été considérablement agrandi. Chefs : Général de division Tappen Lieutenant-colonel Wetzell (depuis le 31 août 1916) Département des opérations B Le 18 août 1916, une subdivision a été créée au sein du Département des opérations qui était responsable des fronts macédonien et turc. Division des opérations II Le 23 septembre 1916, le poste de chef des munitions de campagne est dissous. Les tâches de remplacement des munitions et de l'équipement ont été prises en charge par la section des munitions du service des opérations. Par la suite, la section des munitions a été fusionnée avec la section de guerre pour former la Division des opérations II. Chef : Colonel Bauer News Department, depuis le 20 mai 1917 Département des armées étrangères Elle était responsable de la poursuite des opérations militaires à l'étranger, en particulier pour la guerre des États ennemis. Elle recueillait principalement des informations sur l'organisation et la répartition des forces. Division III b Votre tâche consistait à transmettre les messages de l'ennemi. Cela a été fait par des officiers du renseignement déployés dans les armées et à des endroits appropriés dans le pays d'origine. Il y avait également des agents volontaires ou rémunérés dans des pays étrangers neutres et hostiles et la police secrète de campagne dans les territoires occupés. La police des frontières et la police de terrain ont également fourni du matériel d'information, qui a également servi à des activités d'espionnage. Les services de renseignement et de contre-espionnage du pays communiquaient avec la Division IIIb de l'Etat-major général adjoint, elle-même subordonnée à la Division IIIb du Grand quartier général. Les directives pour l'éducation patriotique ont été publiées par le département, de même que le service de presse mis en place pour orienter l'opinion publique. Département politique depuis le 10 février 1916 Département politique militaire Il était responsable des affaires politiques militaires de tous les États, s'occupait des questions juridiques et transmettait les informations aux attachés militaires et aux autorités écrites sur les questions de paix. 2. le Quartermaster General et ses subordonnés Le Quartermaster General était responsable de toutes les fonctions directement liées à la relève du Chef des opérations du Quartermaster General. Il s'agissait de l'ensemble du système d'approvisionnement, de la scène et des chemins de fer, du poste de campagne et de l'administration de la justice, des services médicaux sur le terrain et des services vétérinaires. Generalquartiermeister Generalleutnant von Stein depuis le 14 septembre 1914 Generalleutnant Hahndorff depuis le 16 janvier 1916 Subordinate positions Generalintendant des Feldheeeres He was responsible for providing the army with food. En outre, il a été le chef du terrain et des postes de direction des troupes. Avec le passage à la guerre de position, la surveillance de la nutrition dans le territoire occupé a été ajoutée. En particulier, la culture du sol et l'approvisionnement nécessaire en matériel de machines agricoles et l'utilisation des surplus de récolte pour l'armée de campagne. Plus tard, l'utilisation industrielle des territoires occupés a été ajoutée. Un nouveau département économique est créé pour l'Ouest à partir du 5 septembre 1916. A partir du 1er janvier 1917, le département économique a été rendu indépendant et élargi et mis en place pour le compte du quartier général du Théâtre Ouest de la Guerre (B.d.G. West). Il était responsable de l'administration, de la gestion et de l'utilisation des territoires occupés à l'Ouest. En plus, il était subordonné : - Général Wechselamt - expert en art pour la préservation des monuments - prisonniers de guerre - et bataillons de travailleurs civils - atelier électrotechnique Ouest - ateliers de réparation d'artillerie et de matériel d'entraînement - pillage et collecte (jusqu'à ce qu'ils soient subordonnés à un commissaire spécial) Au début, les postes suivants étaient également subordonnés au quartier général-maître : - Chef des munitions de campagne - Chef de la télégraphie de campagne - Chef des chemins de fer de campagne - Chef de l'aviation de campagne - Inspecteur des canons à ballons Chef des services médicaux de terrain Médecin d'état-major général de l'armée de terre Le professeur Dr Schiernig a dirigé les services médicaux dans toute la zone de guerre en tant que supérieur du personnel médical le plus élevé. Ses responsabilités comprenaient : le service médical, les soins et le transport des blessés, la distribution des trains et des navires hospitaliers, les hôpitaux dans le pays d'origine. Chef de poste en chef sur le terrain Il a supervisé le système postal sur tous les théâtres de guerre. Les inspections de terrain d'Oberpost Ouest et Est ont été mises en place pour le relever de ses fonctions. Deuxième commandant du Grand Quartier général Il était responsable de la sécurité et de l'approvisionnement du quartier général et du contrôle du sous personnel. Il commandait la garde d'état-major de l'infanterie et de la cavalerie, un bataillon d'assaut terrestre, un commandement de gendarmerie de campagne, la police militaire, une station d'allumage pour véhicules automobiles et un service téléphonique, trois canons de défense à ballons (plus tard, ducrh a remplacé deux batteries de défense aérienne), un train de phares (devenu par la suite un département des phares), la direction des opérations sur le terrain du Grand quartier général ainsi que le fonds de guerre sur le terrain, le parc automobile, le bureau de poste sur le terrain, la surveillance postale centrale Ouest avec le centre de contrôle du bureau de poste du Grand quartier général, le département du marketing et la salle de lecture. La police secrète sur le terrain a coopéré étroitement avec la Division III b. Pendant la guerre, B.d.G.G.West a également ajouté un certain nombre d'agences au Grand quartier général. Le commandant des troupes, nouvellement créé en 1915, se trouvait à Luxembourg. Le Chef du Service mobile a été créé à la fin de 1916 et placé sous l'autorité du Quartermaster General. Il servait à centraliser les formations de véhicules à moteur. Après l'approbation du Generalqaurtiermeister, il a été autorisé à donner des instructions aux troupes motorisées des hauts commandos de l'armée et aux chiffres d'état-major affectés aux groupes de l'armée à l'ouest. Le 17 mai 1918, l'état-major du commandant des services des véhicules de combat est subordonné au chef de la division des véhicules automobiles. Le B.d.G.G. Ost avec son siège à Varsovie était responsable de l'utilisation des terres dans la zone administrative du Commandant suprême Est et du Gouvernement général de Varsovie. Direction des mines militaires de Valenciennes Elle tomba sous la juridiction du Quartermaster General en septembre 1917. Les administrations minières de Mons et de Valenciennes, qui faisaient jusque-là partie du gouvernement de Metz, sont réunies pour former une direction militaire. La représentation allemande en Italie occupée Utilisée en février 1918 à Udine avec évacuation de la 14e armée. Elle servit à faire valoir les intérêts allemands dans le butin de guerre acquis conjointement avec l'Autriche. Le commandant de la 13e Brigade de cavalerie et son état-major doivent réguler la demande de chevaux sur les fronts est et ouest en raison de la pénurie croissante de chevaux. Il a été affecté au GQ le 31 décembre 1916. En février 1918, il devient commissaire du Quartermaster General aux affaires équestres. Commissaire du quartier-maître général à Berlin Afin de rétablir les relations commerciales avec les anciens territoires russes résultant des traités avec les Alliés, une coordination entre les autorités centrales et l'Etat-major général était nécessaire. Il a également pris en charge la supervision des points d'importation et d'exportation. Commissaire du Master Quartermaster General for Prey and Collecting This a été créé avec effet au 1er juin 1918. Il avait déjà été colonisé en 1917. Il était responsable de l'administration du butin de guerre et du contrôle des services. Général des Colonnes de Munitions et des Trains dans le Grand Quartier Général L'augmentation du nombre de formations s'est accompagnée de la contraction technique des armes, qui a été créée en juillet 1918. Sa tâche consistait à utiliser les unités, à superviser le service technique dans la zone de guerre et à la maison, et à remplacer les vêtements et le matériel de campagne. 3. l'artillerie à pied et les pionniers faisaient partie des armes spéciales et leur formation technique était contrôlée par les inspections. Le général de l'artillerie à pied du Grand Quartier général Il a été conseiller du chef d'état-major général de l'Armée de terre sur les questions techniques et le déploiement de l'artillerie lourde. De plus, il a façonné la formation dans son pays d'origine. Il était subordonné à l'"inspecteur de la métrologie de l'artillerie" et à l'"officier d'état-major pour les tirs à plat lourds", qui ont été créés par la suite. Au début, il n'avait aucune influence directe sur le général d'artillerie. Cela n'a pas changé lorsque la Ligue de l'Ontario a introduit les états-majors d'unité " Généraux d'artillerie " au lieu de " Commandants de brigade d'artillerie de campagne " et les Généraux d'artillerie à pied pour unifier l'artillerie. C'est ainsi que son nom fut changé en "Général von der Artillerie Nr. 1". Un mois plus tard, il devient "Inspecteur général des écoles de tir d'artillerie". Il était chargé de l'entraînement au tir de toute l'artillerie de campagne et à pied sur le terrain et à domicile. Inspecteurs généraux : Général de l'Artillerie de Lauter (jusqu'au 15 octobre 1917) Général de corps Ziethen Le Général du Génie et des Pionniers dans le Grand Quartier Général Il était le supérieur suprême des armes pendant la guerre d'augmentation et de spécialisation des formations des pionniers. Il conseille le chef d'état-major général de l'armée de campagne et est responsable du développement organisationnel et technique des pionniers. Les services spéciaux des pionniers, tels que les régisseurs de la machine à lancer les mines, qui existent depuis la fin de 1915, l'inspecteur des régiments de gaz créé en 1916 et le régisseur des moyens pionniers de mêlée en combat rapproché, créé en mai 1918. En août 1918, il reçut le titre de général des Pionniers de la part du chef d'état-major général de l'armée de campagne. Général der Pioniere : General der Infanterie von Claer bis bis bis zum 2. Juli 1916 Major General Marschall von Bieberstein seit 28. Aug. 1918 The Chief of the Field Ammunition Service This was initially subordinated to the Generalquartiermeister. Ses tâches comprenaient la coordination des munitions fournies par le ministère de la Guerre en collaboration avec le chef des Chemins de fer de campagne, ainsi que le remplacement de l'équipement sur la base des rapports des hauts commandements de l'armée et de l'inspection des scènes. De plus, il était responsable de la planification des besoins des commandos de l'armée et des inspections de scène et de leur rapport au ministère de la Guerre. A partir du 10 mai 1915, il est directement subordonné au chef d'état-major général de l'armée de campagne. Cela devrait assurer une coordination étroite avec le service des opérations. Le 23 septembre 1916, le poste de chef des munitions de campagne est dissous. Ses fonctions ont été exercées par le Département des opérations. Le chef de la télégraphie de campagne Le chef de la télégraphie de campagne a été installé pendant les trois premières années de la guerre au quartier-maître général. Il était responsable de l'ensemble des troupes de renseignement et des moyens de renseignement de l'armée de campagne. Pendant la guerre, les formations de nouvelles se sont fortement développées, ce qui a conduit les dirigeants de l'armée sous Hindenburg à procéder à une réorganisation. Un général des troupes télégraphiques pour les théâtres de guerre de l'ouest, de l'est et du sud-est fut créé pour relever le chef de télégraphie de campagne. Ces généraux étaient subordonnés au chef de la télégraphie de terrain. Une nouvelle restructuration du système de renseignement a eu lieu, et le chef de la télégraphie sur le terrain lui a fait rapport. Un nouveau changement organisationnel a été apporté par le chef de la télégraphie de campagne, qui est devenu " chef du renseignement " et relève directement du chef d'état-major général de l'Armée de terre. Il est aussi devenu général commandant. Il était maintenant responsable de l'organisation, de l'utilisation, de la formation, du personnel, du remplacement, du réapprovisionnement, des exigences techniques et de tout le trafic télégraphique allemand. Chef : Major General Balck Colonel von Wolff depuis le 7 décembre 1914 Major General von Hesse depuis le 9 avril 1917 Chef des chemins de fer de campagne Il était initialement subordonné au Quartermaster General. Ce n'est qu'à son remplacement en octobre 1916 qu'il est directement subordonné au chef d'état-major général. Ses tâches comprenaient l'ensemble du système ferroviaire et l'utilisation des voies navigables. Au poste de commandant en chef est, il était représenté par le patron du chemin de fer de campagne est. Il y avait aussi des officiers de chemin de fer aux commandos de scène et aux inspections de scène, puis des officiers d'état-major généraux autorisés dans les États alliés à Constantinople, Sofia, Vienne et, à partir du milieu de 1916, également dans les groupes de l'armée. La rationalisation de l'organisation s'est poursuivie grâce à la création de services de transport ferroviaire indépendants basés au Grand Siège à Kowno et Pleßhatten. Chef : Major-général Groener jusqu'au 31 octobre 1916 Colonel Freiherr von Oldershausen Chef des arpenteurs de guerre Avec la guerre des positions et la production d'une grande variété de cartes, l'arpentage de guerre a pris une importance croissante. Le chef de l'arpentage de guerre devait diriger cette tâche. L'autorité a donc été créée en juillet 1915. Toutes les unités d'arpentage étaient assujetties à cette autorisation. Selon les besoins, les chiffres d'état-major pour l'arpentage ont été attribués aux commandos de l'armée à l'ouest et aux groupes de l'armée à l'ouest. Chef de l'aviation militaire Alors qu'on était supérieur aux dirigeables de l'armée, on s'allongeait avec les avions derrière la France, avec les ballons captifs on s'installait en quelque chose d'égal. Afin de rendre les forces aériennes plus efficaces, le chef de l'armée de l'air a été créé en 1915 avec le quartier-maître général. Il dirigeait les aviateurs, les aviateurs et le service météorologique. Le 1er juillet 1915, un inspecteur des canons à ballons du Quartermaster général est créé pour la défense aérienne, qui appartient à l'artillerie. Le 8 octobre 1916, le général de corps d'armée Hoppner est nommé général commandant des forces aériennes par Allerhöchste Kabinettsordrre et l'ancien chef de l'aviation de campagne, le lieutenant-colonel Thomsen, devient son chef d'état major. Toutes les formations des aviateurs, du dirigeable, de la défense aérienne et du service météorologique sur le terrain et dans la patrie étaient subordonnées au Kogenluft. En octobre 1915, il fut directement subordonné au chef d'état-major général. Le bureau du chef de la censure y a également été intégré, qui était auparavant le bureau d'organisation des commandants généraux adjoints. Le Bureau de presse de guerre a pour mission d'améliorer la coopération entre les autorités nationales et le Commandement suprême de l'armée dans le domaine de la presse, de fournir des informations aux autorités et à la presse et de veiller à ce que la supervision de la presse soit uniforme. Elle était également chargée de transmettre les directives de censure aux bureaux de censure. Le service de presse a été en contact avec tous les services, la voie d'appel habituelle n'existait pas par ailleurs. En octobre 1918, le Bureau de presse de guerre est subordonné au ministère de la Guerre. Poste militaire du ministère fédéral des Affaires étrangères Le poste a été créé le 1er juillet 1916 et était subordonné au commandement suprême de l'armée de terre, mais il était subordonné au ministère fédéral des Affaires étrangères, division IIIb de l'état-major général adjoint, au bureau de presse de guerre, au ministère de la Guerre, à l'état-major de l'amiral et au ministère des Affaires étrangères de la République. Elle était responsable de la défense contre la propagande ennemie et de la propagande allemande au pays et à l'étranger. Le 30 janvier 1917, un "Bureau de l'image et de la photo" a été créé, qui a été désigné en avril 1917 comme "Bureau de l'image et du film". En décembre 1917, Universum Film AG a été fondée à l'initiative de l'Office de l'image et du film et utilisée à des fins éducatives. En janvier 1918, le Bild- und Filmamt est administrativement subordonné au ministère de la Guerre. Toutefois, le Bureau militaire du ministère fédéral des Affaires étrangères a continué d'être habilité à émettre des directives. L'organisation du Grand Etat Major Général du 1. Février 1919 Chef d'état-major général de l'armée de campagne (9) Chef du département central Chef des départements de l'état-major général de Landesaufnahme Département de l'armée étrangère (F) Département des chemins de fer (E) Département de l'économie de guerre (Kriweis) Département d'économie (W) Département d'histoire de guerre (K) Département d'histoire de guerre (K 1) Département d'histoire de guerre (K 2) Département d'histoire de guerre (K 3) Description du fonds : Les cartes de l'ancien inventaire KART 3 ont été transférées dans l'inventaire PH 3-KART. Caractérisation du contenu : L'inventaire cartographique contient des cartes de divers types (cartes de sections, cartes de localisation, cartes de position, cartes d'opérations, cartes photographiques, cartes d'artillerie, feuilles de cartes, croquis cartographiques, etc. Les cartes ont été produites par le service cartographique de l'état-major général adjoint de l'armée de terre et par les services d'arpentage et les bureaux cartographiques des autorités et associations de commandement. La plupart des cartes se réfèrent au théâtre de guerre occidental, en particulier la Belgique, la France et le Luxembourg. Seule une petite partie des documents fait référence au théâtre de guerre oriental, en particulier la Russie. État d'avancement : Citation Invenio : BArch, PH 3-KART/....

BArch, RW 34 · Fonds · 1940-1944
Fait partie de Archives fédérales (Archivtektonik)

Description de l'inventaire : Afin de mettre en œuvre l'armistice entre l'Allemagne et la France, la Commission d'armistice allemande, composée essentiellement de la Wehrmacht, de l'armée, de la marine, de l'armée de l'air, de l'armement et d'une délégation allemande de liaison à la Commission italienne d'armistice, a été créée à Wiesbaden le 30 juin 1940 avec un poste avancé à Paris, complété par des représentants des autorités du Reich (ministère des affaires étrangères, commissaire au plan quadriennal, représentant général du gouvernement du Reich, ministère du transport, service de sécurité). La Commission d'armistice était directement subordonnée à Hitler et utilisait les inspections de contrôle à Bourges (divisées en inspections de l'armée, de l'aviation et des armements) et en Afrique du Nord (Casablanca), chacune étant subordonnée à plusieurs services de contrôle. Annexes : 1ère Commission allemande d'armistice (au 16 juin 1941) 2ème Organisation et bureaux de la Commission d'armistice (au début de 1942) 3ème Bureau des inspections de maîtrise des armements de Bourges et d'Afrique 4. Le contenu du rapport est le suivant : Outre les rapports sur les activités de la Commission d'armistice et de son bureau extérieur, des rapports sur les inspections, des documents sur des questions générales relatives aux forces armées et à la police françaises, sur le déploiement de la Wehrmacht et les conditions dans les régions françaises d'Afrique, et enfin des dossiers individuels de la Commission de contrôle des forces aériennes pendant l'inspection en Afrique du Nord. État d'avancement : Online-Findbuch Scope, Explication : 245 Méthode de citation : BArch, RW 34/.....

BArch, R 1001/4146 · Dossier · (1883) Nov. 1884 - Febr. 1886
Fait partie de Archives fédérales (Archivtektonik)

Enthält u.a.: Bulletin officiel des Assemblée et conférence tenues à Genève, les 15, 16 et 17 septembre 1883. Ligne internationale de la paix et la liberté. Genèneve - Paris 1883 Acte Général de la conference de Berlin suivi des traités pes puissance signataires avec l’association du Congo. Leipzig 1885